Je l'ai laissé.
Garce.
Je l'aimais tellement, j'aimais son odeur, ses baisers, et jusqu'au cliquetis de son cœur collé au mien.
Avec peine, je tapote ma poitrine mouillée; mes poumons sont inondés de sanglots qui débordent.
J'ai arraché ces inséparables.
À présent je me sens tellement vide.
Je suis un bonhomme en coton sans cœur.Un cœur qui jouait à se cacher en se faisant invisible.
À nouveau patauge avec sa gueule cassé et son cœur fissuré, crevassé, abîmé
Dans les abîmes de sa peur d'aimer.
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Jaune Pissenlit
Poetry"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...