Je veux me battre pour ces petites joies qui se finissent trop vite.
Le piège longuement tissé par l'araignée se referme sur moi et je n'attends plus rien.
Laissez-moi entrer dans la longue nuit.
Laissez-moi admirer son corps qui me sourit.
Comme il déploie ce sourire à l'enfant, comme le manège les enrobe.
Je laisse les ailes aux autres, je n'en ai plus besoin là où je suis maintenant.
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Jaune Pissenlit
Poetry"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...