Sentir les feuilles qui s'arrachent des photons, qui s'excitent en lumière, absorbe le rouge et le bleu, pour enfin devenir verte chlorophylle et charmer le globuleux qui réfléchit sur ma rétine un enfant fantastique. Le fantôme s'appelle magie. Agitant son œil troisième, il ferme les yeux et touche de l'invisible doigt, l'infini roi.
L'infini toi.Lumière teintée qui s'allume lorsque l'on se rapproche des réverbères de nos pensées pluriels, plus réel. Où torcher des torches essuie la poussière de l'insensé.
Obscur, il faut ne point être sot, critique ton corps chétif où sommeille l'ego.

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Jaune Pissenlit
Poésie"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...