À six heures ce matin,
Dictée par l'expiation,
Nature coule dans ses méditations,
Oh plus réelle que l'imagination !
Le voyeurisme, la beauté au pluriel,
Les danses nues imposées au ciel.
Les froissements des rêves, elle ose.Éclos le goût de l'éveil,
Frémissant soleil soleil
Sommeille sur ces paupières closes.
Saignant à son épiderme,
Ces couleurs sur peau ferme.
Hermétique à la tristesse,
Risible à la mélancolie, à l'ivresse.
Elle bouscule les préconçus,
Consciencieuse et invaincu
Dans son habit de satin.
Elle me pousse au galop,
Souffle des mots sucrés en sirop
Tend le ciel à travers son sein.À six heures ce matin.
VOUS LISEZ
Jaune Pissenlit
Poesía"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...