"Voici le temps des Assassins"
Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège.
Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits.
À vous je vous avoue ces quel...
Que nos larmes servent à faire renaître les roses.
Que les fleurs à nos coeurs diluviens viennent s'abreuver de milles noyade amoureuses. Que les roses embaument tristement nos genoux blessés et mes yeux asséchés. Que poussent des orties sur nos lèvres pour nous brûler de n'avoir pas su nous dire je t'aime. Et que des épines piquent nos deux cœurs pour sceller les délices de nos aphrodismes. Qu'aujourd'hui je puisse souffler sur tes paupières des aigrettes florescentes, Que tu sentes qu'aveugler ainsi tu me fais penser à moi, endormi. Qu'enfin des épis graminées couronnent mes cheveux ternis pour me rendre jolie. Et sur mon front malade, je voudrais que tu déposes cent fois, ce même baiser rosé que celui de notre première rencontre sans fin. Aussi j'aurais aimé, immortaliser ton sourire et en faire un parfum, parfumerais-tu ma tombe de tes larmes de joie ?
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