Aujourd'hui j'ai monté les escaliers de la peine j'ai compris que le bâtiment s'étalait jusqu'à perde haleine.
Allé prendre ensuite l'ascenseur émotif et fumer une drôle de locomotive.
J'avais les yeux d'un alcoolique anonyme, les yeux menteur d'avoir bu les tiens longtemps, d'être accro à ton visage souriant, trop blanc, troublant. Rampant à mes cils. Dès que je ferme les yeux, je te vois, imbécile. Je pleure en secret, notre amour.
Ma bien-aimé.
Je me chuchote à moi même " toques à nouveau la porte de nos je t'aime", j'aimerais te dire avec un bouquet d'fleurs, que je t'ai aimé en sueur.
Regarde, t'as fait poussé une plantation d'riz dans mon regard, assez pour faire cesser la famine les gars.
Regarde, je reste à la surface de l'eau comme un écueil, mes maux s'enferment dans un cercueil.
Vois, comme je voudrais disparaître 6 pieds sous terre, pour nourrir ta nouvelle planète.
Paradis où dansent les âmes sans dette.
Mes mots seront rangés demain promis sous des convenances ou des panoplies.
VOUS LISEZ
Jaune Pissenlit
Puisi"Voici le temps des Assassins" Des mets gigantesques assiègent ma maison de liège. Ce sont des axiomes de lanternes qui luisent et hantent les axes de mes tendres, mais ternes sentiments jaunies par quelques pissenlits. À vous je vous avoue ces quel...
