Partie 59

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Avant dernière partie ! 🥺

« Jusqu'à ce que la mort séparera nos cœurs et Qu'Allah réunissent nos âmes au Paradis »

Il me fait un bisou sur le front et je descends. Je monte chez moi. J'étais à peine arrivée au 3 eme que j'étais déjà essoufflée. Cette journée a été fatiguante, le ikea ça fatigue vraiment.

... - Salem.

Je relève ma tête et sur les escaliers au dessus, y avais Younes....

Des mois que je ne l'avais pas vu... Ou du moins, personne ne l'avait pas vu... ni même ses parents...

Je monte et l'ignore ou je descends ? Je fais comment pour rentrer chez moi maintenant ?

Je préfère descendre pour qu'il ne m'arrive rien. J'avais plus peur de lui qu'autre chose.

Je me retourne pour descendre, quand je l'entends descendre et m'attraper vers le bras. J'avais à peine mis un pied sur les escaliers du bas.

Moi - lâche-moi.

Younes - regarde-moi.

Moi - Non, lâche-moi.

Younes - regarde-moi et dis-moi que tu m'aime plus ?

Il serrait sur mon bras et ça commençait à me faire mal.

Moi - Younes, lach...

Younes - dis-le et je te laisse tranquille.

Je soupire, il commence à me saouler. Je suis déjà fatiguer de la vie, il en rajoute.

Je ne sais pas où j'ai trouver cette force de transformer la peur en haine, mais je l'ai eu.

J'ai relever ma tête et me suis mise à le fixer.

Moi - tu vas bien m'écouter et très bien même. Je t'aime pas, j'ai aimer l'ancien Younes oui, mais pas toi. L'ancien Younes est mort depuis un an et quelques et mes sentiments avec. Maintenant, y a que Marwan dans ma vie, si je l'ai épouser lui, c'est que je meurs pour lui. Je l'aime comme j'ai aimer personne, même pas toi. Les sentiments que j'avais pour toi, c'est le néant à côté de ce que ressens pour lui.

Au plus je parlais, au plus il serrait sa grosse main sur mon bras.

Younes - tu mens.

Moi - tu commence à me faire mal et le sang circule plus au niveau de mes doigts, lâche-moi maintenant.

Younes - tu peux pas l'aimer plus que moi.

Moi - crois-moi que si. Lâche-moi, ça va pas plaire à mon mari.

Younes *rire nerveux* - son mari elle a dit.

Quand il a dit ça, je peux vous assurer que ma haine est redevenu peur. Qui m'a dit de l'ouvrir ?

Moi - la.. lache-moi.

Et il serrait de plus en plus et il respirait de plus en plus fort. On dirait qu'il essayait de se contrôler et qu'il commençait à avoir du mal.

« Ghetto Game » - SoumyaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant