POV : Kirishima
-tu veux pas rester ? L'invite je sans même y réfléchir.
J'aurai peut être dù car maintenant il me dévisage assez méchamment. Il soupire et lève les yeux au ciel encore une fois avant de poser son sac sur le banc.
-il arrive dans combien de temps ton bus ? Fit il en massant l'arrête de son nez.
-dans 2 minutes. Mentis je. Il arrive dans 10 minutes mais j'ai vraiment envie qu'il reste. J'ai peur que si je lui dis la vérité il partira. Il s'affale à mes cotés sur l'assise froide, non sans expirer bruyamment.
-putain. Je me tourne vers lui, il ferme son manteau en claquant des dents. Un petit pincement de culpabilité me prend le cœur. Je m'en veux qu'il ait froid par ma faute et en plus je l'oblige à rester avec moi. C'est un peu égoïste de ma par. Je souris, en plus d'être la personne la plus belle que j'ai jamais rencontrer, il est gentil.
-merci. Lui dis je simplement sans arrêter de sourire en sa direction. Il ne prend pas le temps de me regarder.
-ferme la avant que je change d'avis. Répondit il en s'enfonçant encore plus dans le vêtement sensé lui tenir chaud. Je détourne mon attention de lui pour fixer un point imaginaire près de l'arrêt où on était précédemment. Déjà qu'il ne m'appréciait pas énormément, maintenant il doit me détester. Je soupire un peu attrister par cette pensée négative. Dommage, j'ai vraiment voulu mieux le connaitre et au moins être son ami.
J'ai eu le temps de rien connaitre de lui. J'aimerais connaitre son prénom, qui est surement aussi beau que lui ! Je me relève vivement, le froid ayant quitter mon corps pour une raison inconnu.
-dis ! C'est quoi ton prénom ? Lui demande je à présent debout en face de lui.
-Bakugo, c'est mon nom de famille. Tu vas devoir te contenter de ça. Répliqua Bakugo sans m'adresser un regard. Je suis un peu triste qu'il ne me donne pas son prénom mais c'est pas grave ! Bakugo, Bakugo. Je l'observe doucement pour voir si ça lui va bien ou non. Il est trop beau ! Que ce soit lui ou son nom qui lui va à ravir ! Avec ses cheveux blonds et ses yeux rouge froid, il est juste incroyable.
-tu veux pas arrêter de m'analyser trois secondes ? Me coupa Bakugo dans mon étude pousser de son physique. Il me regarde avec mépris et étonnamment ça ne me dérange pas. J'aime bien même, l'expression de son visage quand il regarde les gens comme ça est tellement sexy, j'en rougirais presque.
-je me demandais si Bakugo ça t'allait bien. Dis je en faisant mine de réfléchir.
-et donc ?
-ça va ! Ça te va vraiment bien !
Il souris doucement, son visage s'adoucit en une expression mi amusé mi frigorifié. Il est tellement beau quand il sourit en plus le bout de son nez et le haut de ses pommettes sont rougis par le froid le rendant encore plus magnifique.
-ah oui ! Je m'appelle Kirishima Eijiro ! Tu peut m'appeler Eijiro ! Ça ne me dérange pas ! Me rappelle je enjoué par son expression !
-d'accord Kirishima. Entendre mon nom de sa bouche me fit rougir et une agréable sensation apparu dans le creux de mon ventre. Attends, pourquoi il m'a appeler Kirishima ?
-mais pourquoi tu m'a appelé comme ça ? C'est à mon tour de froncer les sourcils.
-ce serai hypocrite de ma part de t'appeler par ton prénom alors que toi tu ne peux pas. Il se lève puis continu : Enfin bref ton bus est là, te perds pas.
Il partit sans rien ajouter d'autre. Bakugo, j'espère tellement qu'on va encore plus se rapprocher. Je sursaute à un klaxon, c'était le chauffeur que me questionner du regard : si j'allais le prendre ou non. Je me précipite à l'intérieur.
____
652 motsHeyyyyyyy les gens ! Désolé désolé, ce chapitre est beaucoup plus court que le précédent ! Je m'en excuse ! J'espère que ça vous a quand même plu ! Ça me termine comment durant tout le chapitre c'est juste Kirishima qui bave littéralement devant Bakugo ! Enfin bref prenez soin de vous je vous aime<3
Tchouss mes beatchs<3
VOUS LISEZ
L'étranger Du Bus ~kiribaku~
FanficKirishima le voyait tout les jours. Il était toujours assis à la même place, des écouteurs enfoncé dans ses oreilles. Kirishima ne le connaissait pas mais c'est pas l'envie qui lui manquait. Mais il n'ose pas aller lui parler, il se contentait depui...