POV : Kirishima
J'ai prié pour que ce moment n'arrive jamais, mais j'ai pas pu le retenir longtemps. Le cours est fini et je n'ai même pas eu le temps de réfléchir sur ce que j'allais dire. Je range mes affaires aussi lentement que possible, tentative désespéré de ralentir encore un peu l'inévitable. Il se place devant moi et se met à m'aider avec mes affaires. Je vois le sourire immense sur son visage : il va être déçu...
-tu as entendu ? C'est la sonnerie ! Ce qui veut dire que tu vas devoir me raconter ! Dit il en sautillant, je devrais peut être m'inquiéter : il est un peu trop excité pour ça, c'est mignon.
-d'accord mais j'ai une question d'abord. Fis je alors qu'on sortait de la salle côte à côte.
-ohh Kiri tu es encore entrain de fuir ! C'est quoi ta question ?
-comment t'as su que c'était un mec et pas ma mère ? Il glousse un peu avant de me regarder.
-t'es hyper content quand ta mère t'offre un truc, t'aurai pas mit une semaine pour le mettre, tu me l'aurais envoyé immédiatement avec fierté ! En plus t'as tourné la tête pour essayer de cacher ta gêne mais tu fais jamais ça quand tu parles d'elle. Et puis le plus important, tu rougissait comme une merde ! S'arrêta-t-il en rigolant à gorge déployer cette fois.
-tu m'as analysé ou quoi ?
J'étais gêné qu'il l'ait compris comme ça, il me connait vraiment trop bien. Il essuie une larme du à ses rires et me réponds.
-oh j'ai pas besoin de t'analyser, je le sais c'est tout. Maintenant dis moi !
Je détourne le regard alors qu'on s'assoie sur notre banc habituel. J'ai honte de ce qui s'est passé et de mettre laisser berner comme ça. J'ai encore une fois été naïf.
-bah tu en tires une des têtes, qu'est ce qui s'est passé ? C'est un encore batard ? Me demanda-t-il en posant sa main sur mon épaule en guise de réconfort.
-je croyais vraiment qu'on se rapprochait, mais puisqu'à un moment donné j'ai eu un doute je lui ai demandé si il se jouait de moi. Il est partit, il s'est barré. Je me tourne brusquement vers lui. Comme si je venais de réellement comprendre, la colère avait enfin remplacer la tristesse. Une putain de voiture est venu le chercher chez moi !
Je sens les larmes montaient mais je ne suis pas triste. Mes poings se serrent et ma mâchoire se crispe. J'arrive pas à croire que j'ai pleuré pour ça, j'ai juste envie de le frapper maintenant. Et d'un coup, un torrent de larmes que je n'ai pas pu retenir. Un torrent de larme de tristesse. J'essaye d'arrêter mais je peux pas, je veux pas être triste pour lui, mais j'arrive pas. Alors je pleure comme une merde.
Denki, qui jusqu'ici me caressait le dos doucement, s'arrêta. Avant de m'attraper par les épaules.
-attends attends, tu rigoles ? Il est sérieux ? Tu vas bien m'écouter Eijiro, il en vaut pas la peine d'accord ? Tu mérites milles fois mieux, il ne mérite même pas que tu verses une seul larmes pour sa vielle tête ! Maintenant debout, j'ai bien envie de sécher et malheureusement Hitoshi n'est pas là alors ça te dit une glace ? Viens de toute façon tu n'as pas le choix.
Il m'attrape le bras avant de me tirer vers le portail du lycée. Je souris entre mes larmes, il est vraiment le meilleur. Il a totalement raison, même si c'est le gars le plus beau et le plus intelligent que j'ai jamais vu. Ça ne vaut pas la peine que je me batte pour rien. Je devrais passer à autre chose.
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629 motsHeyyyyyyy les gens ! Désolé chapitre beaucoup plus court mais comme je m'y attendais, j'ai perdu toute motivation •́ ‿ ,•̀ Surtout après avoir vu qu ejnai perdu toutes mes notes alors là ! Le pire c'est que je me souviens pas de tout et pire je me souviens pas du plus important •́ ‿ ,•̀ Bon je vais m'en remettre à un moment donné en vrai ça m'a fait remettre en question mes idées et je pense que je vais retravailler ça. Je vous tiens comme d'habitude au courant sur mon mur ! Enfin bref prenez soin de vous je vous aime<3
Tchouss mes beatchs<3
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L'étranger Du Bus ~kiribaku~
FanfictionKirishima le voyait tout les jours. Il était toujours assis à la même place, des écouteurs enfoncé dans ses oreilles. Kirishima ne le connaissait pas mais c'est pas l'envie qui lui manquait. Mais il n'ose pas aller lui parler, il se contentait depui...