( !!!!! TW : Chapitre mature !!!!!)
Une fois de retour à la maison, nous rangions les courses. Ce qui était plutôt simple étant donné que les placards étaient déjà vides. Il ne fallait que les remplir. Le frigo lui, ne comportait que des boissons. Enfin, désormais, il comportait tout un tas d'aliments. Et c'était tant mieux. Après tout, un aussi beau frigo devait avoir autre chose que des bouteilles d'eau ou des cannettes de bière.
- Bon... Je vais bosser dans mon bureau.
- Hép hép hép. Tu penses aller où comme ça ?
Je souriais en le regardant, alors qu'il commençait à se plaindre. S'il pensait pouvoir échapper à la mission cuisine, c'était hors de question. Il allait apprendre à cuisiner.
Je sortais alors la planche à découper.
Cette fameuse planche à découper.
Des légumes, du riz, ainsi que du poisson. Un repas sain et équilibré. Qui allait être préparé par Sane. Bien sûr, j'allais l'aider. Afin de ne pas avoir à manger un repas carbonisé. Alors que j'étais en train de préparer les légumes, et que lui était censé préparer le riz, je sentais ses mains se poser sur mes hanches. Ses doigts relevèrent mon tee-shirt, se posant directement au contact de ma peau. Je soupirais légèrement, ne pouvant m'empêcher d'adorer ces sensations qu'il me procurait. Cependant, je savais aussi ce qu'il était en train d'essayer de faire.
Me distraire, afin qu'il n'ait pas à cuisiner. Mais je n'allais pas me laisser avoir par ses petites ruses que je ne connaissais que trop bien.
- Le riz Sane.
Il se mettait à embrasser mon cou, laissant ses lèvres se perdre dans le creux de mon cou, se perdant par la suite sur mes clavicules. Je fermais mes yeux, tentant de garder mes esprits clairs. Ce qui était plus dur qu'il n'y paraissait.
- Sane. Si tu ne veux pas que je te coupe la bite, tu devrais m'écouter.
Sa main se posait sur mes fesses, elle aussi semblait s'être perdue. Cependant, alors que je commençais à perdre le contrôle de mes pensées, il s'éloignait de moi. Un immense sourire aux lèvres, fier de lui. Il repartait alors à sa tâche, me laissant seul.
Le connard. Croire qu'il s'amusait à m'exciter avant de partir, comme-ci de rien était.
Lorsque le plat était en cours de cuisson, il revenait près de moi, m'empêchant de m'enfuir en me bloquant tout échappatoire. Il me portait finalement, me soulevant avec une aisance phénoménale, et me déposait sur l'îlot. Je caressais doucement ses joues, alors qu'il enlevait mon tee-shirt. Quant à moi, je débutais la périlleuse tâche de déboutonner chacun des boutons de sa chemise. Je me penchais, afin de déposer mes lèvres contre les siennes, et, je sentais un sourire se dessiner sur ses lèvres gourmandes, comme à leur habitude. Finalement, il enlevait mon pantalon, tandis que notre baiser devenait de plus en plus passionné. Je ne pouvais m'empêcher d'en demander plus, tout comme lui.
Nous étions tous deux addicts à ces sensations que nous nous offrions mutuellement, et bordel ce que c'était bon.
Finalement, les préliminaires ne durèrent que très peu de temps, étant donné que je lui demandais de passer à l'étape supérieure. Il souriait en m'écoutant, et, après quelques secondes, je ne pouvais m'empêcher de gémir en sentant son membre en moi. Il embrassait mon cou, continuant d'y faire des suçons. Je passais ma main sur son crâne, le serrant contre moi, tout comme j'enlaçais sa taille à l'aide de mes jambes.
J'étais accro à ces moments. Ceux où nous couchions ensemble, ceux où nos corps ne faisaient qu'un. Je le regardais en souriant, avant de finalement écraser une nouvelle fois mes lèvres contre les siennes. La cadence de ses mouvements avait augmenté, créant diverses sensations, toutes aussi délicieuses les unes que les autres. Je chuchotais près de son oreille que je n'allais pas tarder à jouir, et, ces simples murmures semblèrent l'exciter plus qu'il ne le fallut, puisqu'il alla encore plus rapidement, provoquant ainsi cette vague de plaisir qui prenait possession de chaque cellule de mon corps. Peu après moi, il jouissait lui aussi. Nous étions tous deux à bout de souffle, souriant bêtement en regardant le visage de l'autre. Une fois sa respiration reprise, il embrassait le bout de mon nez, me murmurant " je t'aime " près de mon oreille.
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DAG ** (bxb)
RomanceCETTE HISTOIRE PEUT-ÊTRE LUE SANS AVOIR LU DAG 1. 7 ans plus tard, désormais psychologue, Soren est muté dans son ancienne ville. Là où il a eu son premier amour, sa première fois, mais aussi, sa première rupture. Une rupture douloureuse, l'ayant dé...