CHAPITRE XXXXII

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Selon Vhion


















Croyez-vous sincèrement qu'on naît en étant bon, mauvais, humble, gratifiant, généreux, égoïste, méprisant, curieux...

La croyance, laissez-moi vous faire part d'une chose, vos croyances sont complètement éphémère.

Personne ne naît bon encore moins mauvais, il le cultive, il le devient après culture.

Et cette culture, comment se procède t'elle ?

On me répondras sûrement des visions et conceptions de l'entourage, ignorant sérieusement, qu'il ne suffit simplement pas de l'impact de la communauté pour octroyer un changement progressif ou rapide d'une personne.

Personnellement, je suis né d'un homme des plus respectueux, un homme aux caractères dociles, intransigeant, respectueux et dévoué ; et d'une femme dociles, craintive, souriante, humble, gratifiante et généreuse.

Rien avoir avec celui que je suis à présent.

Mon père n'était brutale, à n'aucun jours depuis ma naissance jusqu'à mon adolescence il ne m'avait battu, ma mère quant à elle, se contentait de m'infliger des punitions arbitraires qu'elle cessait dès que je présentais quelques symptômes de nonchalance, quelle déception cette femme.

Mon enfance était majestueux et royale, je ne manquais de rien, et pourtant, je me sentais incomplet.

J'ai enchaîné plusieurs occupations pour palier à ce manquement, le sport, les jeux vidéos, je suis allé à même à me créer une bande de racaille, mais rien n'avait changé, au fond, tout au fond de moi, j'étais complètement vide.

Me suis-je remis mainte fois en cause, cherchant désespérément ce qui n'allait pas chez-moi. Pourquoi ne pouvais-je être heureux ?

Ma situation financière était complètement au stable, j'avais la côte auprès des femelles, je me défendais très bien dans tout ce que j'entreprenais et pourtant, je me sentais bien loin d'user de mon potentiel.

Pour une toute première fois, Vhion Senth que j'étais, âgé simplement de dix-huit ans, je me suis appliqué à draguer une meuf.

Je n'avais à dépenser le moindre effort, elles s'offraient toutes à moi, comme des aiguilles attirées par un aimant magnétique.

Un soir dans ma chambre, l'atmosphère était en son comble, Cathie s'offrait à moi. C'était la toute première fois que je prenais goût au sexe féminin.

Du goût !? c'était répugnant.

Je n'ai tiré aucune satisfaction, j'étais tellement dégouté qu'immédiatement j'ai cessé les rotations en elle d'un brusque geste et sans ménagement, ni avertissement, je sortais en elle.

Flashback

- Un problème Vhion ?

- Plus qu'un problème Cathie, c'est répugnant de te prendre. Ça me dégoûte tellement que continuer serait absorbé des détriment. Rhabille-toi et sors de ma chambre.

- Comment tu peux être aussi ferme dans tes mots ? Tu penses que je suis ta chienne ? Que tu peux utiliser et après traîter de moins que rien ? Détrompe-toi Vhion, je ne suis en aucun cas un objet donc tu peux te servir et après lâcher à la poubelle.

- Des menaces Cathie !? Sérieusement, tu penses pouvoir me menacer !? Tu es très loin du compte...

- Un viol. Je dirais à tout le monde, que le fils parfait des Senth, le prodige Vhion Senth, s'est abaissé à me violer, moi, Cathie Valberg.

FUGITIVE DE MON EXISTENCE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant