La peur en moi a atteint son paroxysme, je suis morte malgré ma respiration s'arcader.
Le temps n'a pas l'air de s'écouler.
Il reste devant moi, admirant avec dévotion, dédain, perversité et envie ma nudité, donc le sang provenant de mes ouvertes ne fait qu'inonder.
Il réduit encore plus la distance entre nous, en s'approchant à pas lents.
Je n'arrive pas à le fuir, la peur me paralyse, me fige à une position unanime. Malgré la tremblote de mon corps, je suis incapable de bouger.
Mais, cet état second prends fin, avec des hurlements de douleurs que je lâche, provenant de ses gifles répétées.
Il prend du plaisir à me faire crier, plus mes hurlements atteignent un seuil élevé, plus l'intensité de ses gifles augmente.
Sa satisfaction est aussi paroxystique au vue de l'intensité de mes pleurs, supplications, et cris.
Par la suite, il arrache son ceinturons, et entreprends de me frapper avec le bout métallique.
Avec hagne, brutalité et sans ménagement, il m'inflige des coups, de par et d'autres de mon corps, celui-ci ne perds par le temps de viré au violacée vif.
Et mon sang, de se déverser à flots. Il me bât encore et encore, de plus en plus fort, je cris en à perdre mes poumons, à briser mes cordes vocales.
La douleur est insupportable, insurmontable les coups atteignent leur paroxysme, et mon corps se déchirait de plus belle.
J'ai mal affreusement mal.
Son sourire s'élargit, il prend plaisir, ma souffrance l'ouvre l'espace extase.
Je suis essoufflée
Fatiguée de pleurer, de crier, de supplier.
À bout de souffle, je ne cris plus, j'ai certe mal, mais aucune force en moi pour crier.
Plus rien, et sans que je ne me rende compte, j'étais sur mes genoux, son gland dans ma bouche.
Le mouvement est rapide, je n'ai rien déceler, mais je sens son épaisseur dans ma bouche,il me déchire les lèvres.
Il est encré au plus profond et pouvait atteindre mon oesophage.
Je manque d'air, je vais surement mourir.
Le plus jouissant, c'est qu'il n'aura pas ma dignité, il ne m'aurait pas souillé, je vais partir en paix.
C'est du moins ce que je pensais, jusqu'à ce qu'il se retire de ma bouche et aussitôt, je commence à pousser des grimaces de gorge répétitive.
Mes lèvres se sont déchirées à leurs extrémités communes, suites à la largeur considérable de son gland.
À peine je reprends une énième bouffée d'air qui n'a nullement eu le temps d'atteindre mes poumons qu'il s'est à nouveau Infiltré dans ma bouche.
Il se saisit durement de ma nuque, et commence à opérer des allées et retours brusques, violant, déchirant et meurtrier dans ma bouche.
Je n'en peux plus, j'ai beau me débattre, opérer des griffes sur ses jambes, mais rien.
Plus je me débats, plus j'ai de la peine à le contenir, encore moins à respirer, et plus encore, il prend du plaisir.
Il reste fixe sur ses pieds. Mes griffures ne lui procure rien qui puisse l'empêcher d'exercer son emprise dans ma bouche.
Au bout de ce qui paraît être des années de torture, il s'arrête et me propulse brutalement sur le lit.
Je me débats pour fuir, mais, il saisit de ma jambe gauche et me ramène dos à lui.
M'installe à plat ventre sur le lit, écarte brusquement mes jambes avec rage, fougueux et l'espace d'une seconde à suffit pour m'achever.
Il s'est planté en moi. J'ai subis une défloration de l'anus.
George m'a sodomisé.
Il m'a tué.
Mon cœur est en morceaux.
Il pompe encore du sang, mais ne réagit plus.
Je ne suis plus, car j'étais.
Il s'accarde violemment mon anal, avec des entrées déchirant et des sorties violents, dures et immondes.
Je sens mes jambes tremblées.
Il fatigue, ainsi que l'activité de son gland dans mon anal.
Plus aucun cris venant de moi, aucun gémissements de douleurs, des larmes silencieux coulent sur mon visage.
Ma bouche s'est tue.
C'est clair, une évidence qu'on ne pourra plus nié désormais.
Emilliène Bassamg est morte.
Les verrous de la porte se rompent, elle s'ouvre lentement avec un grincement cathodiques.
Je ne bouge pas, il est toujours dans moi.
Toujours en activité de viol, son acte ne cesse malgré une présence dans la pièce, agripper toujours sur mon fessier, il exerce.
Les pas se rapprochent du lit, une voix, celle de Jule s'élance dans un vocabulaire,
- George ça suffit.
- Tu n'as aucun droit sur moi.
- je m'excuse, je ne le ferai plus. Mais si jamais tu continues, elle risque mourir et je sais, pertinemment que tu n'as pas encore terminé avec. Alors, sors d'elle et laisse moi, la remettre sur pied.
- Je n'ai donc pas le choix ?
Il se leve de mon fessier, son sexe sort en moi tout doucement, je peux le ressentir entre l'écart.
La douleur me fait terriblement souffrir.
Je sens un liquide, dégouliner de mon anal vers mon vagin, il est à la fois gluant et épais.
Ça ne peut qu'être du sperme mêlé à du sang, mon sang.
Je ne pose aucun mouvement, aucune grimace de douleurs, aucune parole.
Je suis un cadavre.
Un cadavre donc le cœur bât.
Mon ouï surprends, tout de même ses pas s'éloignés de la chambre, et les verrous de la porte se rabattre.
- Je vais te remettre sur pied Emilliène.
- Je veux mourir.
J'articule avec faiblesses et ressort le mot ''Mort" à répétition.
Cathïde2ange
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FUGITIVE DE MON EXISTENCE
Mystery / ThrillerL'état de mort n'est pas seulement attribué à cette personne donc son cœur a cessé de battre, encore moins, donc les organes vitaux ont stoppés leurs boucles de fonctionnement. Du cas d'Emilliène Bassamg, elle était vivante et morte à la fois. Son c...