Selon Vhion
J'ai lus quelque part, un versé qui m'a effleuré la pensée, il disait en soit
"Au commencement, n'était que néant, sobriété et à vide. Mais lorsqu'il fût, il demeure. Lorsqu'il ordonna, il se présentait définitivement, ainsi apparus luminosité, vie, et jovialité...".
Adepte d'écriture, je ne me limite à ce point, je longeais les cascades d'écriture au point de tomber nez-à-nez a ce spécimen, sa profondeur me fit comprendre ma descendance et probablement mon ascension.
" Il était le fils aimé de son père, celui sur qui, père pouvait se reposer et poser ses espoirs car, il croyait en son fils bien aimé. Mais celui-ci habité d'un lucidaruis, s'est très vite rebellé contre son père et son peuple... À jamais fut-il bani par ceux, auparavant l'aimaient d'un amour inconditionnel..."
L'on ne serait rester passifs, s'il fût le créateur de ce monde, la grande responsabilité d'être l'illustre concepteur de cet âme perdit qui habitait son fils, n'est que sienne.
Alors le fait devient simple à la compréhension des plus attardés neuroniques, le bien engendre le mal.
C'est ainsi depuis les temps primordiaux, l'on ne peux rien y faire, c'est inchangeable, inné et indéniablement irréfutable.
Face à ce qui est mon fils, je ne perds face, tout comme ce dernier, mon fils, l'unique que j'ai, est ma plus belle réussite.
Je l'ai conçu et confectionner à mon image, pour qu'un jour, puisse-t-il surpasser mes limitées et combler mon agonie de découverte.
Hélas, aujourd'hui, se tient-il face moi, téméraire et soutenant avec ténacité ce regard qui, devrait le faire plier face ; et ceci pourquoi !?
Une chose, un banal objet, un truc nauséabond infâme et déprécie, charrier et charpie.
Malgré tout, il s'y accroche.
Je ne cesse de croire qu'il s'est définitivement éloigné du chemin prés construit par mes soins, élaboré et entretenus fièrement pour qu'il puisse circuler d'un libre-arbitre total...
Emilliène, cette chose a eu raison de ma méfiance.
- Va-t-on demeurer longtemps dans cette posture avant de débuter très cher fils !?
- Papa, que songes-tu que je fasse !? Émie m'appartient, c'est mon objet, mon animal, mon outil, mon jouet, ma chose... Et toi, tu es mon maître Vhion, tu es celui qui m'a tout appris, mon guide, mon mentor, et par-dessus tout, mon père. Cependant, tu m'as toujours dit, de ne jamais laisser une personne outrepasser mes plans et aujourd'hui, c'est toi, qui essaie de déborder mes limitées.
- maintiens-tu ta position George !? Est-ce exactement le cas ?
- Une des choses que tu m'as encore appris, c'est de n'avoir qu'une seule parole. Alors, oui je maintiens exactement ce qui fut dit pas mes soins. Je garde Emilliène mienne quitte à t'hotter la vie, papa.
- Un homme est bien celui-là qui n'a qu'une seule parole, et j'en suis extrêmement fière, que tu en sois un. Dommage que tu ne vivras pas assez longtemps pour exhiber cet aspect de toi, plus grand sera encore ma tâche de confectionner un fils à mon image. Quelle ironie que ça doive se terminer de cette façon, ne trouves-tu pas !? Un père qui doit en finir avec son fils, pour unique objectif, respecter une règle qu'il a lui-même édictée et qu'il pouvait outrepasser ; un fils qui se doit de tuer son père pour préserver un jouet quasiment remplaçable. La situation est tellement drôle que je ne peux m'empêcher de pousser des ricanements insolites...

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FUGITIVE DE MON EXISTENCE
Mistério / SuspenseLa mort ne se résume pas à l'arrêt du cœur, ni à la désertion des organes vitaux. Dans le cas d'Emilliène Bassamg, elle était vivante et morte tout à la fois. Son cœur battait encore, ses organes poursuivaient leur cycle, certes, mais son humanité...