Je la pousse en arrière et vers le bas. Elle se retrouve rapidement à genoux par terre devant moi. Je n’attends même pas qu’elle agisse. J’enlève rapidement mon jeans pour me retrouver en boxer ultra moulant. Elle glisse les mains le long de mes cuisses pour me caresser un peu, mais je suis comme une bête à ce moment là. Je n’ai aucune patience. Je descends mon caleçon de juste ce qu’il faut pour libérer ma puissante queue déjà toute grosse et dure comme de la pierre, je passe une main derrière sa tête et je l’attire à moi.
Toutefois je ne la contrains pas à me sucer, mais j’approche son visage suffisamment proche de ma bite pour qu’elle n’ait plus qu’à tirer la langue pour la gouter. Ce qu’elle fait sans que je n’aie à la prier.Assez maladroitement, sûrement à cause de son état de fatigue et sous l’effet de la picole, elle commence rapidement à me sucer à pleine bouche. Elle alterne les faux mouvements, où je sens les dents et doit me retenir de pousser des petits cris de douleur, avec les mouvements parfaits où elle me prend à des vitesses astronomiques en gorge profonde avec juste mes couilles qui demeurent à l’ouverture de ses lèvres.
Puis, assez brusquement elle s’arrête, se relève tant bien que mal, et me dit, en anglais qu’elle doit aller se doucher, et se mettre en pyjama avant de me rejoindre au lit. Et sans attendre que je puisse répondre, elle disparait dans la salle de bain.
Elle me laisse comme ça, comme un chien, la queue bien lubrifiée, mais sans aucun trou ou bouche à baiser.
Et puis, j’ai une pensée folle à ce moment-là. Je pense à sa copine. Elle dort deux portes plus loin dans le même corridor.
Je renfile mon boxer, et je file vers cette autre chambre. J’ouvre discrètement la porte. Il fait sombre là-dedans, mais pas assez pour que je ne m’y retrouve pas.
Asa, est bien là, couchée dans son lit, sur le côté, dos à moi. Elle a l’air de dormir. Je ne m’en formalise pas, je suis tellement excité, et je me sens comme dans les films pornos.
Je me glisse sous la couette derrière elle, je l’embrasse dans le cou. Elle ne bronche pas mais je continue quand même. Elle dort en petite culotte et un t-shirt ample sans rien dessous. Comment je le sais ? et bien c’est simple, sans attendre plus longtemps je passe la main droite sous son haut, et je parviens rapidement sur son sein droit. Putain il est vraiment énorme. Avec toutes ces couches de vêtements qu’on porte dans ces pays nordiques, on ne remarque pas forcément la générosité des formes de certaines filles.
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🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞
Lãng mạn🔞 Le journal intime et parfois trash d'un amoureux des femmes, une véritable ôde à l'amour 🔞 Certains passages sont vraiment hards et donc à déconseiller aux âmes sensibles. Ne venez pas svp vous plaindre après. 🔞🔞🔞🔞🔞🔞 Ne lisez pas si vous n...