LAURANNE - 6

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« Putain… hmmm oui ! C’est trop trop bon ! »

Ses yeux n’ont pas quitté les miens. Je suis au nirvana. Elle reste un peu comme ça, immobile, sans broncher. Sa respiration, par le nez, reste calme et régulière. Je sens son souffle me chatouiller le nombril. Puis, tout aussi lentement, qu’elle la fait dans le sens inverse, elle commence à remonter sa bouche tout le long de ma queue.

Une fois qu’elle m’a retiré de sa bouche, je vois un long filet de bave, et de mon plaisir, qui  relie encore celle-ci à l’extrémité de mon gland. Avec son doigt, elle l’enroule autour, et l’avale sensuellement.

Elle m’excite tellement sérieux.

Ensuite, elle ramène sa tête sur ma queue, et commence à me la sucer bien énergiquement. Elle alterne les phases où elle se contente de seulement bien me suçoter le gland, en tournant autour avec son piercing, chose qui me donne des sensations assez intenses, avec les phases où elle se renfonce tellement ma bite en bouche, qu’elle peut me lécher les couilles en même temps.

Après un quart d’heure, à me pomper comme rarement on me l’a fait (même encore aujourd’hui des années plus tard), je dois la faire stopper car sinon je sens que je vais éjaculer brutalement.

« Arrête stp, sinon je vais venir, lui dis-je.

- Ok, bouge pas ! »

A ce moment-là, elle se met debout. Je suis toujours assis sur le bord du lit. Elle se retourne, dos à moi, enlève son string, et commence à fléchir sur ses jambes. Elle vient poser l’entrée de son sexe sur mon gland.

Elle reste comme ça, le temps de prendre mes mains et se les glisser sous son t-shirt. J’ignore à quel moment elle a retiré son soutien-gorge, mais il a disparu. A la place, je rencontre deux seins énormes, durs et bien lourds.

Je les soupèse, joue avec, délicatement. Mais ce n’est pas de son goût, elle se saisit de mes mains et les pose fermement sur ses deux imposants obus, la paume bien à plat dessus. J’ai compris, j’empoigne brutalement ses seins et me mets à les malaxer sans ménagement. C’est cet instant précis qu’elle choisit pour s’assoir sur moi.

Elle se laisse descendre. Je sens ses lèvres pulpeuses s’ouvrir au maximum, pour laisser ma queue bien épaisse s’enfoncer en elle. Elle est trempée, mais bien serrée comme j’aime.

🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant