🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞

L'INCONNUE - 4

Je me souviendrai toujours, dans ces instants-là, du malaise que je ressentais toujours, assis devant l’écran entre mes parents. Et plus j’étais mal à l’aise plus ça se voyait, et plus ça se voyait….et ainsi de suite.
Concernant l’image, et pour ceux qui n’auraient pas compris, c’est comme quand on vient voir quelque chose en particulier, mais qu’on vous emmerde avant, ou pendant, avec tout autre chose.

Pas que j’aime devoir m’excuser tout le temps, mais voilà le cœur y est comme on dit.

Donc je la conduis jusqu’à mon appartement au centre-ville. Pendant le trajet, je ne peux m’empêcher de fixer ses jambes. Et elle fait bien exprès de remonter un peu sa jupe, histoire de me chauffer. On se gare, je me précipite pour lui ouvrir la porte. Certains se diront que je suis un véritable gentleman, comme on n’en fait plus depuis longtemps, mais non j’ai surtout très envie de bien pouvoir la reluquer pendant qu’elle sort du véhicule et qu’elle me précède jusqu’à mon entrée d’immeuble, puis dans la cage d’escaliers. Car oui j’invente un problème d’ascenseur pour avoir le loisir de la voir gravir les marches en mini-jupe juste devant moi. Un beau spectacle s’offre à mes yeux. J’ai droit à une vue plongeante sous la petite pièce de tissu, et je peux constater, qu’elle ne porte rien sous son collant. Je ne suis pas loin de la prendre là sur le palier.

Après trois étages, on arrive chez moi.
On boit un petit rafraichissement, et elle me demande d’aller dans la chambre. Elle ne perd pas de temps, mais bon c’est vrai aussi qu’il est déjà tard.
On s’installe au-dessus de la couette. Moi allongé sur le côté me tenant sur un coude, et elle, toute petite, à genoux devant moi.
Elle se penche et pose ses lèvres sur les miennes. 

Puis, elle me repousse brutalement, et me pousse sur un coin du lit, histoire de lui faire de la place. Et là elle commence à se lancer dans une danse silencieuse, mais digne d’une diablesse. Elle se déhanche, se trémousse, passe ses mains sur son corps, en vient à se sucer quelques doigts en me lançant des regards qui en disent long. Elle se met à quatre pattes, et frénétiquement remue son cul juste sous mon nez. Il est tellement moulé que la jupe menace de craquer d’une seconde à l’autre. Puis, tout en restant encore habillée, elle se place accroupie dos à moi, sur moi au niveau de mon sexe. Elle fléchit assez les jambes pour entrer en contact avec moi.

Et elle commence à se frotter à moi de plus en plus fort. Inutile de vous préciser, que mon érection était déjà au maximum depuis qu’on était sorti de la voiture.