EMMA & ÅSA - 7

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Ce qui est génial, quand on est en état d’ébriété sans être trop bourré, c’est qu’on se transforme souvent en véritable étalon, on devient extrêmement endurant. Et j’adore ces moments, j’en profite au maximum.
Du coup, je peux vous dire que j’enchaine les minutes non stop, je ne m’arrête pas une seconde de lui mettre autant de coups de queue, avec toute la force que j’ai en moi pour la baiser vraiment à fond. Tout mon énervement, toute mon énergie, mon envie y passent.

Je grogne de plaisir, je serre encore plus fermement ses seins, et je la baise encore et toujours. Puis je me retire subitement, mais ma queue retrouve toute seule le bon chemin, et, prenant de l’élan je m’enfonce à nouveau en elle. C’est trop bon. Je réitère cette manœuvre, me reculant toujours davantage quand je sors de son corps, prenant toujours plus d’élan et la défonçant donc toujours plus fort quand j’y retourne.

Puis au bout d’un moment, je me dis que je ne peux pas éjaculer ici, sinon je laisserai des traces, et que sa copine, Emma doit finir par m’attendre. Et que, elle, consciente, peut participer librement à mon vidage de couilles.

Du coup, je donne mes derniers coups de hanches, j’embrasse Asa dans le cou, doucement et sensuellement, comme pour la remercier de ce moment magique, et je me retire discrètement et silencieusement de son lit, puis de sa chambre.

Tout joyeux, je retourne rapidement dans l’obscurité, dans la pièce où sa comparse suédoise m’avait gratifié d’une brève fellation.

Emma est là, dans le lit, allongée, prête à dormir… mais pas encore.

Je me glisse vite sous la couverture, contre son corps. Elle ne me demande même pas où j’étais. Elle se contente juste de disparaitre sous la couette, pour venir de nouveau positionner sa bouche sur mon gland. Puis, plus adroitement qu’au préalable, elle ouvre grand la bouche et se met à me pomper la bite.

En fait, elle me la pompe pas à proprement parler, mais se l’enfonce jusqu’à la gorge, et joue autour avec sa langue. Elle manque de s’étouffer et se faire vomir une dizaine de fois puis relève la tête, enlève mon sexe de son palais, et réapparait pour venir m’embrasser, partageant par la même occasion le goût de mon excitation.

Ensuite elle me grimpe dessus, à califourchon, et commence à s’enfoncer toute seule ma bite bien lubrifiée dans sa chatte. Celle-ci est étrangement sèche et serrée. Du coup, elle a du mal au début à bien s’empaler sur moi. Putain, je trouve ça super excitant. Elle gémit un peu de douleur mais s’efforce de ne rien montrer et insiste en s’appuyant de tout son poids pour me prendre en elle.

J’adore ça. J’ai l’impression de forcer le passage, de la déchirer littéralement. C’est encore plus étroit que le dernier cul que j’ai baisé là-bas (sûrement l’objet d’un prochain chapitre d’ailleurs).

Mais sérieux, c’est vraiment trop serré et trop bon pour moi, car elle parvient enfin à m’accueillir jusqu’aux couilles dans son bas-ventre, que je sens que je ne vais pas tarder à gicler tout le sperme que j’ai en moi.

Du coup, je la fais rouler sur le côté, l’allonge sur le dos, remonte ses pieds sur mes épaules, afin d’avoir le meilleur angle d’attaque et de pénétration, et je me défoule brièvement en elle. Elle crie de plaisir et un peu de douleur, et je me lâche… je me vide littéralement en elle, je sens que j’envoie des putain d’énormes giclées de sperme. Je lui remplis tellement la chatte que quand je me retire, je peux voir que ça dégouline en dehors. D’ailleurs je ne peux me retenir de lui renfoncer ma queue directement et cela plusieurs fois, histoire de faire jaillir un peu plus de mon foutre le long de ses lèvres, débordant, coulant jusqu’à son anus.

Puis je me redresse, et remonte le long de son corps, jusqu’à ce que j’atteigne son visage, et je lui enfonce, sans trop lui laisser le choix, mon gland dans la bouche. Elle accepte d’ouvrir les lèvres et la mâchoire. Il ne m’en faut pas plus pour que je me laisse tomber de tout mon poids sur son visage, venant enfoncer ma bite à nouveau jusqu’au fond de ma gorge. A l’entendre tousser et déglutir, je devine qu’il y a encore des dernières gouttes qui sortent de mon sexe.

Je me retire enfin. Pendant qu’elle reprend son souffle, je m’essuie la queue contre son visage. Puis je l’embrasse amoureusement et fougueusement. Je m’allonge de façon à pouvoir la serrer contre moi, et nous nous endormons ainsi, épuisés de nos ébats.

🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant