Alexia - 5

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Je me branlai ainsi brutalement la queue pendant une kyrielle de minutes qui durent lui paraitre sacrément longues. En fait, pour rester franc avec vous, je me décidai à interrompre cette délicieuse séquence de baisage de bouche car je sentais que je m’approchais très dangereusement du fameux point de non-retour où je n’aurai alors d’autres choix que de déverser l’intégralité du contenu de mes couilles directement dans son œsophage. Et je n’avais pas été mandaté par Monsieur Eric pour simplement élargir les voies respiratoires de la miss.

Oh non, ma mission, et je l’avais acceptée avec tout le poids des responsabilités que cela impliquait, avec toute cette pression écrasant mes petites épaules, était la destruction en bonne et due forme de l’anus d’une pute que je n’avais encore jamais vu de mon existence quelques dizaines de minutes plus tôt.

Et comme vous le savez déjà, si vous avez lu attentivement l’ensemble de mes aventures, je ne suis pas de ce genre d’étalons qui peuvent gicler et s’y remettre dans la foulée. Je ne dis pas que cela ne m’est jamais arrivé mais cela relève davantage du domaine de la rareté plutôt que de l’abondance.

Bref, avant donc qu’il ne soit trop tard, je tirai un grand coup la gueule de chienne en arrière pour la faire complètement abandonner ma queue qui ne demandait, pourtant, qu’à rester bien enfouie au plus profond de cet antre aussi étroit que chaud, humide et accueillant.

Mon geste fut tellement brutal, et inattendu pour elle, qu’elle n’eut pas le temps de ravaler toute sa salive, et une grande giclée de bave accompagna le mouvement brutal de sa tête et finit par venir s’exploser bruyamment et visqueusement (oui j’invente des mots) sur mon propre visage.

La rage monta immédiatement en moi et je ne pus m’empêcher de balancer une claque, plutôt gentille tout de même, dans ce visage de chienne qui me fixait bêtement. Je le saisis fermement et douloureusement (je suppose) par le menton et je lui crachais, à mon tour, toute la salive que j’avais en bouche à cet instant. Sans réfléchir plus en avant, je me levai d’un bond, tel un ressort, et je vins lui tartiner, avec mon gland, le fluide gluant sur toute sa gueule de salope.

« Ne t’avise plus jamais de me manquer de respect comme sale pute, lui gueulai-je encore passablement énervé. »

Eric me fixait avec les yeux brillants et un sourire satisfait aux lèvres. Celles-ci remuèrent pour me formuler un ordre aussi simple que sans appel :

« Maintenant baise-lui le cul à cette chienne et vide toi dedans ! »

🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant