Thaïlande - 2

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A travers des signes des mains accompagnés d’un mauvais anglais, la jeune fille m’indiqua la couchette et une chaise pour poser mes vêtements. Puis elle prit une serviette et attendit que je me déshabille. Tshirt, short et caleçon, c’était du vite enlevé. Je voulus lui saisir la serviette mais elle retira sa main, hors de ma portée et d’un signe de tête m’ordonna de m’allonger.

Elle est amusante en fait. Je m’exécute, je me couche sur le ventre de tout mon long. Elle commence alors son massage, avec des huiles et d’autres produits que je ne connais pas du tout. C’est agréable. Elle a une sacrée force dans les doigts pour une fille aussi fluette.

Ses mains parcourent bien toute l’étendue de mes épaules, de mon dos, et elle agrémente le tout de quelques incursions sur mon postérieur toujours laissé nu. Plus le temps passe, et plus elle s’attarde à cet endroit. Puis, doucement, elle laisse ses doigts se balader entre mes fesses. Je frémis de surprise et les serre aussitôt par réflexe. Mais presque immédiatement je me relâche car je suis subitement très intrigué par ce qu’elle me réserve.

Elle comprend immédiatement que je ne m’oppose aucunement à ce qu’elle poursuive. Je sens donc deux de ses doigts fins passer subtilement sur mon anus, poursuivre et venir délicatement remonter le long de mon périnée. Ça me chatouille légèrement mais ça m’excite déjà beaucoup. Et du bout des ongles elle vient toucher le bas de mes couilles, qui gonflent et durcissent brutalement, réagissant à ce délicieux contact.

Elle s’arrête, se recule et m’informe que je dois maintenant me tourner.
Je m’exécute encore sans broncher, soucieux d’obéir à cette attirante fille, mais je garde mes mains au-dessus de mon sexe, pour le cacher à sa vue. Je reste tellement pudique, comme vous en êtes tous convaincus depuis déjà de nombreux chapitres. Avec une fulgurance soudaine, je lui prends la fameuse serviette qu’elle m’avait refusée et qui était déposée sur son épaule, jetée là négligemment, et je la pose sur mes hanches.

Inutile de vous préciser à quel point cela devient ridicule, car je ne peux plus rien dissimuler. Un véritable chapiteau, ou un tipi comme vous préférez, occupe l’endroit de mon excitation. Elle me sourit, passe ses mains sur mon torse, mon ventre, puis sous la serviette.

Moi je la bouffe du regard. Elle est tellement mignonne, tellement jeune, et surtout tellement fine que je m’imagine déjà la casser en deux, la marquer à vie de l’intérieur en me défoulant comme un taré en elle, en y allant sans aucun ménagement. Et s’il m’est permis, tenter de lui élargir assez son cul de pute pour pouvoir m’y enfoncer jusqu’aux couilles.

Tout en conservant la serviette posée au même endroit, elle fait glisser sa main toujours plus bas jusqu’à rencontrer ma queue déjà complètement grosse et dure, qui attend patiemment qu’on s’occupe d’elle. Mais je sens ses petits doigts, étrangement mais agréablement froids, contourner la base de mon sexe, et venir me caresser les couilles. J’adore cette approche. Elle est tellement douce et délicate dans ses gestes. Elle en fait le tour, revient dessus, parfois me les malaxant adroitement, parfois me faisant frissonner en me les touchant à peine du bout des ongles, c’est un pur délice. Et je sens, autant que je vois aux mouvements de la serviette, à quel point mon énorme bite commence à s’impatienter, en balançant subtilement au rythme des pulsations d’excitation qui m’envahissent.

Elle remarque aussi ce phénomène et me fixe dans les yeux en m’offrant un grand sourire complice. Elle se mordille la lèvre supérieure, je la sens excitée également.

D’un geste brusque, elle envoie la serviette valser quelques mètres plus loin, libérant enfin l’engin de tant de plaisir, parfois de souffrance, et, je l’espère constamment, de convoitise.

Elle prend bien le temps de contempler le spectacle. Elle sourit à nouveau, pour elle-même cette fois-ci. Puis, retirant complétement ses mains de moi, les plaçant dans son dos, se met à lentement se pencher en avant.

Etant donné sa petite taille, et le fait que ma couchette est en hauteur, il ne lui faut pas longtemps pour que son visage parvienne à hauteur de mon gland, durcit et rougi par le plaisir de cette scène. Sa bouche arrive tout près. Elle se tourne un peu de façon à pouvoir me fixer dans les yeux, puis elle sort sa langue et, extrêmement habilement, se lance dans un magnifique exercice de léchage de queue. D’abord elle me lèche seulement de l’extrémité de sa langue et en se concentrant uniquement sur mon gland dénudé totalement, et offert à ce type de cadeau.

🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant