Alexia - 4

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Elle était assise sur le lit à côté de moi, à une cinquantaine de centimètres de nous, et il en parlait comme cela, avec une telle légèreté. Il aurait voulu m’informer que les prévisions météorologiques tablaient sur de la pluie ce soir et quelques éclaircies demain au cours de la journée, qu’il aurait utilisé exactement le même ton naturel.

Un rapide coup d’œil à la demoiselle qu’il avait affublé du doux surnom de « salope » m’apporta la conviction qu’elle devait être grandement habituée à être traitée de la sorte, car elle ne s’en émouvait, en apparence, pas du tout. Elle faisait même montre d’un certain détachement.

Eric fit mine de se rassoir dans l’unique fauteuil de la pièce, tendit sa main vers sa coupe mais au dernier moment se saisit de son téléphone posé juste à côté. Il se releva d’un bond et nous demanda de nous rapprocher pour nous prendre en photo.

Après avoir obtenu mon accord, car soucieux du degré de discrétion et de respect de ma vie privée, il prit quelques clichés tout en nous taquinant sur le fait que nous formions un « petit couple très mignon ». Ce qualificatif me fit sourire intérieurement car, à ce moment précis mon esprit était totalement submergé par des pensées qu’aucune personne saine d’esprit dans ce bas monde ne pourrait juger de « mignonnes ».

Alors même que nous collions nos visages l’un à l’autre face à l’objectif, je me sentais déjà bien gonfler et durcir de plaisir, en imaginant déjà sa bouche, rafraichie par le champagne, m’avaler complètement.

Comme s’il avait lu limpidement en moi, mon nouvel ami reposa son smartphone. Il se précipita vers moi et, avec une aisance incroyable, déboutonna mon jeans, se débarrassa de ma ceinture et baissa mon vêtement jusqu’aux chevilles, emportant habilement mon caleçon du même mouvement. Telle une catapulte que l’on actionne, l’élastique du boxer libéra ma queue qui vint brutalement et lourdement taper contre mon ventre à travers le tissu de mon polo noir. Mon sexe se dressait désormais fièrement bien droit et bien gros. L’intense excitation se traduisait très nettement par les petits tremblements saccadés qui parcouraient toute la longueur de mon membre.

Sans m’en avertir et sans, évidemment, que je m’y attende, Eric empoigna fermement ma queue à pleine main (ai-je encore besoin de préciser que celle-ci n’en faisait pas le tour !?) et se pencha furtivement afin de la prendre en bouche pour la goûter en fourrant légèrement plus que simplement mon gland. Je n’eus toujours pas le temps de réagir, qu’il avait déjà fait un tour de langue complet et qu’il s’était relevé un grand sourire béat aux lèvres.

« Quelle bonne grosse queue ! lâcha-t-il. Elle te plaît ? Ajouta-t-il à l’adresse de la jeune femme.

- Oui, elle est épaisse, répondit-elle sans hésiter, les yeux fixés dessus.

- Alors bouffe-la bordel ! Il a envie de se vider. »

Il saisit Alexia par les cheveux sans grand ménagement et amena sa tête vers mon entrejambe, la forçant à se plier en deux, se contorsionnant de belle manière, et à lâcher son verre par terre sur la moquette sombre qui amortit la chute et ingurgita le restant du coûteux breuvage. J’aurai pu me scandaliser d’un tel gâchis, mais je vous avoue qu’à cet instant précis, j’étais plutôt en train de savourer cette délicieuse et surprenante gorge profonde réussie avec brio lors de la toute première mise en bouche. En effet, cette chienne, car là il n’y avait plus là d’autre façon de la nommer, venait en un seul et unique mouvement d’engouffrer, et sans aucun accroc, tout ce qu’il fallait de ma queue pour que je puisse ressentir ce plaisir intense, qu’il est rarement donné à un homme, de cogner violemment contre le fond de sa gorge.

🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant