Bon, étant donné qu’il se passe un temps considérable entre l’écriture de chacun de mes chapitres, et que je ne prends jamais la peine de relire les précédents avant de me lancer dans un nouveau, il se pourrait, et il ne s’agit ici que d’une simple supposition, que je radote sur certains points. Heureusement que le titre de chaque chapitre s’articule autour du nom de chacune des filles que j’ai baisé, sinon je crois que je serai capable de raconter deux fois la même aventure. Mais pour l’heure, voici une anecdote tellement récente que je suis certain de ne pas vous l’avoir encore narrée.
L’an dernier, je suis parti en vacances en Thaïlande pendant une petite vingtaine jours. Plusieurs villes étaient au programme, histoire de découvrir les différentes facettes et régions de ce magnifique pays. Mais avec des journées chargées de marches et de visites, agrémentées de vols internes réguliers, le séjour s’avérait être plus fatigant que prévu. Aussi, il arrivait donc qu’en plein milieu de journée, une sieste improvisée s’imposait d’elle-même.
Aussi, je profitais, lors de la visite de la région de Phuket, de quelques instants en plein milieu de l’après-midi, où je m’éclipsais hors d’une de ces siestes pour sortir de l’hôtel faire un tour en solitaire. Officiellement, je partais faire quelques courses alimentaires.J’éliminais rapidement cette tâche dans la supérette la plus proche. Je pris les premiers articles qui me passaient sous la main, histoire de perdre le moins de temps possible.
De part et d’autres de l’hôtel et du magasin de bouffe, se dressaient quelques salons de massage, avec leur lot de masseuses attendant et alpaguant le client sur le devant de leur boutique.« Un bon petit massage me fera le plus grand bien, me disais-je pendant que j’avançais au ralenti sur le trottoir et que je reluquais une à une chacune des jeunes filles comme du vulgaire bétail. »
Certaines n’étaient franchement pas jolies, mais d’autres, toutes fines, étaient carrément canons.
Certaines faisaient toutes sages, ne paraissant pas à leur place, et d’autres avaient juste l’air de vulgaires traînées.
Mais toutes me mataient et m’appelaient en me gratifiant de leur plus beau sourire. Quel plaisir d’être désiré à ce point, même si je sais éperdument qu’elles n’en ont qu’après les liasses de billets qui remplissent mes poches. Mais soit, je sais tout de même profiter naïvement de ces petits moments où on se sent aduler.
Réflexion typiquement masculine : mais c’est dans ces rares moments-là que j’envie les filles physiquement attirantes qui peuvent se délecter régulièrement de ces instants au combien grisants.
Réponse typiquement féminine : « ok, c’est bien sympa cinq minutes, mais avoir une bande de pervers en chien qui te renifle le cul et te siffle à longueur de journées c’est tout sauf plaisant… ».… Oui, bref, quoiqu’il advienne, je resterai à tout jamais dans le corps d’un homme donc ce débat m’est clairement inutile. Et puis je n’ai pas demandé une quelconque réponse à mes pensées personnelles.
Perdu dans ces échanges indéniablement constructifs, je ne m’étais pas rendu compte que je m’étais arrêté devant un des quelques salons de massage du coin, et que, un sourire bête peint sur mon visage, je détaillais du regard chaque masseuse présente devant moi. Je n’avais d’ailleurs aucun doute sur leur caractère professionnel, chacune possédant très certainement un diplôme ou une quelconque certification locale quant à la pratique de ce dur métier. Masseuse agréée, un des boulots les plus fréquents dans ce pays.
Avant que j’ai pu faire quoi que ce soit, on m’avait convié, ou plutôt incité, à entrer dans la boutique. Vous vous doutez bien que sinon je n’en aurai rien fait. Je serai retourné sagement dans ma chambre d’hôtel, ravalant fièrement mes terribles envie de cul qui avaient envahi tout mon être et suintait par tous les pores de ma peau.
A mon avis, quiconque aurait croisé mes yeux et aurait vu mon expression du visage à ce moment aurait de suite été terrassé par l’incroyable force, l’inégalable désir de vidage de couilles qui gouvernait l’entièreté de mon corps. Tel un zombie appâté stupidement par une incontrôlable faim de chair fraiche, j’avais donc pénétré une des enceintes du monde des plaisirs, les plaisirs des caresses et des frictions corporelles.Je n’eus même pas à choisir, car l’une des plus jolies employées, une petite Thaïlandaise que je dépassais allégrement d’au moins deux têtes ultra fine, me prit en charge. A savoir qu’elle m’entraina dans un espace séparé uniquement par un grand rideau circulaire. D’autres espaces du même type devaient déjà être occupés à côté, car malgré la musique d’ambiance asiatique, ressemblant davantage à un mélange de dance des années 90 et de la musique d’ascenseur avec une chanteuse larmoyante donnant l’impression d’agoniser en essayant de fredonner quelques dernières paroles… oui malgré cette musique particulière d’un volume relativement élevé, on entendait que certains clients étaient déjà en de très bonnes mains. Entre un bruit clair de succion, des gémissements étouffés et des bruits de claquements de peau, je me trouvai averti quant à la probable suite des événements.
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🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞
Romance🔞 Le journal intime et parfois trash d'un amoureux des femmes, une véritable ôde à l'amour 🔞 Certains passages sont vraiment hards et donc à déconseiller aux âmes sensibles. Ne venez pas svp vous plaindre après. 🔞🔞🔞🔞🔞🔞 Ne lisez pas si vous n...