🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞

Emilie - 5

Puis elle abandonne mes couilles, dégage sa main de mon boxer pour venir libérer entièrement ma queue par l’ouverture où son autre main demeure, solidement cramponnée. Elle prend le temps d’observer mon intimité ainsi mise à nue. Elle a l’air d’apprécier le spectacle.

« J’étais sûre que tu avais une queue bien large. »

Mon Dieu, toute ma vie, dès que je repenserais à cette parole, j’aurai des furieuses envies de sexe.

Je n’ai pas le temps de réagir, ou de répondre quoi que ce soit, que déjà elle se penche afin de venir poser sa bouche sur l’extrémité de ma bite. Je sens ses lèvres qui m’embrassent le gland, le bout de sa langue qui frétille dessus. Elle ouvre sa bouche, tente de m’avaler, ne serait-ce que le bout, puis se ravise.

« J’ai une trop petite bouche. »

Et elle sourit, toute mignonne qu’elle est à ce moment-là. Mais elle insiste. Elle ouvre au maximum sa bouche et là, c’est le paradis. Sans sentir du tout ses dents, je sens une bouche, des lèvres serrées, pincées, qui descendent tant bien que mal sur pratiquement toute la longueur de ma queue, raide et dressée comme jamais. Je bute contre le fond de sa gorge avant qu’elle n’atteigne mes couilles, gonflées et pleines de sperme.

Mais au bout de quelques secondes à peine dans cette position, je lui fais comprendre gentiment de lâcher sa prise, sinon je vais éjaculer. Elle me retire de sa bouche. Elle me sourit de nouveau.

Puis débute un vrai suçage en bonne et due forme de mon gland, tout en me branlant lentement sur toute la longueur de mon sexe à deux mains. Elle alterne mouvements de bas en haut, et mouvements de rotation d’un côté puis de l’autre. Elle fait jouer le mouvement de ma peau, venant tirer sur mon frein dans différents sens et de différentes façons, tandis que sa langue vient régulièrement et avec beaucoup d’intensité titiller ce même endroit.

C’est tellement bon, et elle fait ça avec tellement de lenteur et de douceur que j’arrive à bien contrôler la montée de mon plaisir.

Et toujours, en arrière-plan, Rocco et quatre amis à lui en train de passer à tour de rôle à califourchon sur une pure salope blonde positionnée en levrette, le cul béant essuyant leurs assauts violents.

…

J’ai l’impression que ce moment dure une éternité… une éternité au paradis. Elle n’est pas du tout pressée de passer à la suite. Elle prend tout son temps, savoure le goût de ma queue sur sa langue, contre son palais. De temps en temps, elle me fixe, me sourit et se frotte le visage doucement avec mon sexe tout baveux. Puis elle remonte tout du long avec le bout de sa langue, pour revenir m’avaler à nouveau au maximum de ce qu’elle peut prendre.

Ensuite, je la vois descendre, elle disparait de mon champ de vision et je sens sa bouche prendre, l’une après l’autre, mes couilles, jouer avec, les gober. Elle me les aspire à tour de rôle, juste ce qu’il faut. Elle sait s’arrêter pile à la frontière entre plaisir et douleur.