Thaïlande - 3

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Ensuite elle se penche davantage encore et tout en bougeant la tête juste de ce qu’il faut, elle parvient à me lécher plusieurs fois sur toute la longueur de ma queue. Je sens à quel point elle veut encore grossir et durcir mais elle est au maximum, ça me fait limite mal cette sensation mais que c’est excitant en même temps. De voir un gabarit aussi petit, un visage jeune aussi mignon et une bouche aussi affolante… Ses mains sont aussi toutes petites, j’adore cette vision, cette impression relative que ma bite est encore plus grosse qu’à l’accoutumée. Et je me pose la question, en même temps que je savoure sentir cette langue professionnelle de pute qui me fait bien reluire, de savoir comment diable va-t-elle se débrouiller pour parvenir à me pomper ne serait-ce qu’à moitié.

A croire qu’elle avait deviné le fond de ma pensée. Toujours sans me toucher, elle remonte la tête, pose ses lèvres sur le bout de mon sexe, et lentement commence à descendre, comme si elle m’aspire lentement dans sa bouche. Ses lèvres, tellement serrées, s’ouvrent de plus en plus, mais je sens que ça devient difficile. Rapidement, à peine passé le niveau du gland, je sens déjà les dents qui viennent freiner cet élan de bonté. Elle ne peut pas aller plus loin. Et connaisseuse qu’elle est, elle l’a compris. Elle doit donc se contenter de me prodiguer une bonne séquence de fellation uniquement sur l’extrémité, mais au combien sensible, de ma queue.

Elle joint enfin ses mains à cette opération. Elle les joint ensemble d’ailleurs pour pouvoir faire le tour de ma bite. Et toujours très lentement, en me suçotant, elle se met à me masturber en prenant bien soin de remonter et descendre toujours complètement et en serrant parfaitement bien.

La vision que j’en ai est sublime. Je me répète, mais voir ainsi ma queue ayant l’air aussi énorme sous les caresses d’une bouche et de deux mains aussi petites, c’est quelque chose qui m’aurait fait gicler en quelques dizaines de secondes dans ma jeunesse.

Elle continue ainsi quelques instants, de la même façon, et au même rythme. Mais je prends conscience subitement du temps qui passe. Il ne me faut pas trop traîner, et je dois encore la défoncer.

Alors je tends le bras, je pose la main sur ses fesses et, de mes doigts habiles, je me mets à lui caresser sa petite chatte toute épilée. Elle ne porte absolument rien sous sa micro jupe. Je l’entends gémir et accélérer la cadence sur ma queue. J’intensifie donc, dans les mêmes proportions, mes mouvements. Le bout de mes doigts venant chacun son tour s’enfoncer brutalement en elle. Et même en la pénétrant juste ainsi, je sens à quel point elle est étroite. Je me dis que je vais souffrir un peu au début, certes pas autant qu’elle vous vous en doutez, mais je vais tout de même devoir forcer un peu le passage tout en me faisant compresser la bite.

Plus je continue, et plus son sexe devient humide et trempée. Profitant que mes doigts soient bien mouillés, je tente, avec cette subtilité qui me caractérise, de venir titiller son anus afin de tâter le terrain. J’entends un gémissement, mais celui-ci de désapprobation. Mais tant qu’elle ne me repousse pas, j’insiste en appuyant sur son petit trou et en commençant à y glisser mon index.

🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant