🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞

Alexia - 3

Le jour J est arrivé. Déjà que je n’avais que peu de marge entre mon heure prévue d’arrivée en train et l’heure du rendez-vous à l’hôtel, mais il n’y eut rien de bien étonnant au fait que mon transport entra en gare (de l’Est) avec un retard, certes non négligeable, mais tout de même en-dessous du seuil fixé officiellement et octroyant un droit à un remboursement. De toute façon, que m’importait car c’était bien mon employeur qui couvrait mes frais de déplacements, ils auraient été donc bénéficiaires en cas de retour financier, et cela après des démarches administratives qui, elles, auraient été intégralement à ma charge.

Bon je vous passe les détails de la rame de métro bondé avec barre de pole-dance suintante, de ma course effrénée à la supérette hors de prix pour acquérir la bouteille de champagne brut la moins chère (oui mon côté économe reprend systématiquement le dessus), de l’enregistrement à l’hôtel, et du débarquement en trombe dans ma petite suite royale de quinze mètres carrés, déshabillage, douche, habillage…. Mes convives étaient déjà devant l’immeuble, à m’envoyer des SMS pour me prévenir qu’ils étaient en avance.

Un petit coup de stress à l’imminence d’un nouveau type d’expérience pour moi. J’ai donné le numéro de chambre. Je me suis encore une fois recoiffé, j’ai mis un coup de déo et de parfum. Il n’y avait plus qu’à laisser faire les choses d’elles-mêmes. J’avais quand même bien hâte de découvrir le physique de la femme qui allait m’être offerte aussi facilement.

Eric était du genre petit homme, un visage jovial et souriant. Il était très sympathique, extrêmement bavard, et il m’a de suite mis à l’aise et en confiance. Voilà qui était de très bon augure pour la suite des événements. Et Alexia est également entrée dans ma vie (pour environ deux heures) ce jour-là. Une grande brune que j’évaluais dans les 25 ans au premier coup d’œil. Quelques kilos en trop (à mon goût évidemment), des hanches plutôt larges, mais une belle peau hâlée et très mignonne de visage. Et surtout, un côté timide qui dénotait avec la teneur du programme à venir et qui m’a immédiatement beaucoup plu. En fait, je trouvais ça même terriblement excitant de savoir que j’allais dans quelques instants défoncer le cul de cette jeune inconnue, qui paraissait si réservée, tout en l’insultant allégrement sans aucune gêne.

On a ouvert la bouteille, après que j’ai dû faire du charme à la barmaid du restaurant de l’établissement pour lui emprunter un seau à champagne blindé de glaçons et trois coupes, et on a trinqué dans une ambiance qui allait devenir de plus en plus détendue et perverse.

Eric faisait la conversation, il me laissait de temps à autre glisser une ou deux brèves réponses, et ma partenaire dégustait son breuvage en silence tout en me jetant quelques coups d’œil malicieux.

Puis mon nouveau camarade, tout en terminant une phrase évoquant le milieu du libertinage parisien, se leva, pris la main libre d’Alexia et la plaça sur mon pantalon, au niveau de l’entre-jambe, exerçant immédiatement une pression afin de commencer à deviner, en même temps que la jeune fille, le degré et la taille de mon excitation.

Il me fixa en souriant chaleureusement :

« Alexia te plait hein !? Elle est timide, mais tu vas voir… C’est une vraie salope. Tu vas pouvoir lui baiser le cul et la remplir de toute ta semence. »

(Bon j’essaye de trouver le temps tout à l’heure de poursuivre un peu, et je vous promets que l’on va entrer dans le vif du sujet)