🔞 JOURNAL D'UN LOVER 🔞

Alexia - 7

Puis vint la séquence relativement classique du démontage anal en bonne et due forme. Je donnais des énormes coups de queue, n’ayant comme seule retenue la douleur de mes couilles venant frapper lourdement contre ses fesses. Il ne fallait pas non plus que cette partie de pur bonheur ne me procure des sensations désagréables. Si une personne devait encaisser et souffrir de plaisir, ce n’était absolument pas moi.

Pendant donc une bonne dizaine de minutes, je m’acharnais sur cet anus, mettant toute ma bonne volonté à le démolir. J’adorais, par moments, me retirer complètement brutalement, observer ce trou béant qui pulsait littéralement, prendre mon élan et replonger là-dedans en ayant l’impression si excitante de pouvoir atteindre son nombril si j’y allais assez fort.

Par intermittence, Eric venait placer la paume de ses mains sur mes fesses pour m’imprimer un rythme encore plus soutenu. Puis il profita d’un moment où je faisais une pause, inséré intégralement dans Alexia, pour venir coller sa gueule dans mon cul et se mettre à me lécher l’anus comme un chien. Je faisais abstraction du fait qu’il s’agissait d’un homme et je profitai de cet instant. J’avoue que c’était finalement extrêmement excitant d’enculer une pareille pute offerte sans aucun respect, et de se faire bouffer le petit trou en même temps.

Puis il s’arrêta, se redressa, et m’ordonna :

- Je veux que tu te soulages dans cette chienne !

Et il se mit à me masser les couilles avec beaucoup de dextérité pendant que j’intensifiais mon pilonnage pour faire monter le jus.

J’attrapai les cheveux longs d’Alexia, tirai fort en arrière et sur le côté pour l’obliger à me présenter son visage de profil.

- Sale chienne de merde ! lui balançai-je, pris d’une poussée de rage.

Et je lui balançai autre chose aussi dans la gueule. Un bon crachat de salive qui s’écrasa sur son front et commença immédiatement à lui dégouliner dans l’œil et le long de son nez.

La voir comme ça, me poussa au pic de mon excitation, et je ne pus m’empêcher plus longtemps de jouir. Je sentis cette pression énorme et salvatrice, au niveau de mon bas ventre, de mes couilles. Comme un besoin de gicler mais qui marque un bref temps d’arrêt, quelques précieuses secondes limite douloureuses, puis cette explosion de plaisir. Et quel plaisir !!! Savoir, voir, qu’on est en train de se vider, de se soulager, d’éjaculer dans un putain de corps, un putain de cul de salope pareil. Deux heures avant je n’avais encore jamais vu cette fille de ma vie, et là j’étais en train de me vider les couilles dans son anus sans aucune protection….

- Va te nettoyer dans sa gueule ! me conseilla judicieusement Eric.

Je ne me fis par prier. Je m’essuyai la queue contre le visage, encore couvert de ma salive, de la belle. Comme elle rechignait à ouvrir sa bouche pour me pomper une dernière fois la queue, mon compagnon lui asséna une grosse claque sur les fesses, qui résonna dans la chambre.

- Suce lui la queue putain ! Nettoie-le sale pute !

Ce fut à son tour à elle de ne pas se faire prier et de s’appliquer sur mon sexe, après avoir évidemment pousser un râle de douleur et de colère.

C’est ainsi que s’achève cette aventure. Alexia est partie prendre une douche rapide, pendant que Eric et moi nous célébrions notre rencontre réussie autour d’une dernière coupe de champagne.

J’espère que cette dernière partie, tardive, vous aura tout de même plu. Je m’excuse encore une fois pour le temps de publication et pour la baisse dans la qualité de mon récit. J’avoue avoir moins de temps actuellement dans ma vie pour me consacrer à l’écriture de mon Journal. Je suis aussi sur d’autres projets d’écriture, loin de l’érotisme et de la pornographie. J’aime bien alterner. Mais jamais je n’abandonnerai la poursuite de mes aventures, car dans la réalité je continue encore et encore à en vivre.

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