Fatal Obsession - La Saga Des Mafiosi 1

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Heitor Martinelli🍷

– oui – répond-t-elle, étant visiblement effrayée. J'ai sorti mon arme de son cou et je l'ai mise dans ma poche arrière du pantalon.

– Super. Maintenant, dis-moi quel est ton prénom – je connais déjà au de son prénom, mais je veux l'entendre d'elle-même.

– Samantha Casteli - Sa voix est sortie rauque et étouffée.

En la regardant dans les yeux, je vois à quel point elle a peur ! Et c'est génial, j'aime voir mes ennemis effrayés, même quand je n'ai encore rien fait.

Peut-être que c'est pour ça que j'aime tant, parfois les êtres les plus cruels aiment les choses inhumaines, et c'est pourquoi nous sommes de loin les plus forts parmi une bande d'idiots.

La peur ne nous rend pas plus faibles, elle nous rend forts, nous permet d'agir seul et en utilisant le raisonnement.

Cette femme, même si elle est la fille de mon pire ennemi, a une beauté éclatante et surréaliste.

– Et maintenant ? – demande mon frère Salvatore.

— Dites à la gouvernante de s'occuper de Samantha ! Et dites-lui que si elle (Samantha) essaie de s'enfuir, elle a ma permission de la punir si nécessaire.

— OK, je vais l'appeler. - Mon frère dit et s'en va. 

Il me laisse seul avec Samantha.

— Je peux savoir au moins pourquoi je suis ici ? — M'a-t-elle demandé.

—Je suppose que tu ne comprends toujours pas qui je suis, n'est-ce pas ? - Je m'en rapproche davantage en rapprochant nos corps – je suis le Cappo (chef) de cette Mafia, donc, pour ton bien,  — je pousse son corps contre le mur – Ne me pose pas de questions, ou sinon, je suis capable de... — Je ne finis pas ma phrase, car mes yeux sont trop occupés à apprécier ses lèvres charnues et charmantes.

— Tout est ok. Nous pouvons la retirer, la gouvernante est déjà disponible pour lui enseigner le nécessaire.  — J'entends la voix de Salvatore et je m'éloigne un peu du corps de Samanth et je vais à la porte.

— Je veux qu'elle soit prête à 21 h – Dis-je à mon frère – nous aurons un rendez-vous avec les autres mafias, et comme elle sera ma femme, je veux qu'elle sache se comporter.

Cela dit, je vais aller dans mon bureau où j'ai bu mon whisky préféré. Avoir cette femme à nos côtés ouvrira et fermera d'innombrables portes.

Je vais à la fenêtre et je l'ouvre, laissant le vent entrer, puis je marche vers mon bureau et tire le téléphone.

– Appelez Dandara. – J'ai ordonné et il m'a obéi immédiatement.

Dandara est la prostituée la plus convoitée et la plus désirée, pas par moi.

Je l'appelle juste pour me soulager de mon stress quotidien.

Je tourne mon attention vers les nombreux papiers sur mon bureau et soupire frustré.

Être responsable d'une mafia est une grande responsabilité.

J'ai dû appliquer de nombreuses règles pour arriver là où je suis. Au début, je n'étais pas aussi respecté que maintenant, car j'étais nouveau à recevoir une telle « fonction ».

Mais après avoir versé le sang, tué d'innombrables personnes, tant d'innocents, de traîtres, d'alliés, j'ai maintenant le respect de tous.

« Alors tu es stressé » – je me suis retourné pour voir Dandara avec le regard malveillant.

Sa bouche est recouverte de rouge à lèvres, son corps est vêtu d'une robe simple, mais il apprécie quand même ses courbes.

Dandara mord ses lèvres en voyant mon regard sur elle.

J'ai bougé la table et je me suis assis.

Je frappe mes cuisses en l'appelant.

Dandara enleva sa robe, se contentant des ensembles intimes, puis fit une queue de cheval sur ses cheveux noirs.

– Ne les enlevez pas – je dis en faisant référence au fait qu'elle voulait enlever ses talons.

Elle m'obéit et vient à moi.

Je tire mon bras et je la laisse s'asseoir sur moi.

Inévitablement, sa bouche est allée à mon cou où elle a laissé des traces chaudes.

Je saisis sa hanche, provoquant un soupir involontaire.

Je prends mes mains dans son dos et j'ouvre son soutien-gorge.

Elle l'a enlevé et le mien a vu son énorme buste.

Je prends l'un d'eux avec mes mains et l'autre, je le lèche.

Dandara cambre le dos et prend son cou en arrière.

Je lui mords le mamelon et j'entends son gémissement étouffé. Je tourne ma langue autour de son mamelon et je prends mon autre main jusqu'à son cou et le saisis fermement.

Dandara remua la hanche et, par conséquent, mon sexe battit et voulait la penetré plus que jamais.

Ses mains sont sur mon cou alors je décide de me lever.

Je l'emmène à la table et je la mets à 4.

Je retire mon sexe de mon pantalon et, avant de le pénétrer, j'attache ses mains derrière son dos.

Dandara gémit avec mon attitude et je l'ai rapidement pénétrée avec force.

J'ai augmenté la vitesse de mes coups et j'ai giflé ses fesses.

Ses mains essayaient de se libérer des miennes, mais échouaient misérablement.

—  AAhh... Heito...r — Elle gémit mon prénom

Je ralentis, sachant que tôt ou tard, je serai au sommet du plaisir.

J'ai lâché ses mains en regardant son corps se contracter.

Je me suis assis sur ma chaise tenant mon membre et en recevant mon regard, elle a capté le message.

Puis elle se leva avec difficulté pour marcher vers moi et se baissa.

Souriant mélancolique en voyant mon sexe battre, elle a à son tour mis ses seins en avant et au milieu d'eux se trouve mon sexe.

Je lève la tête, et quand je sens sa bouche envahir mon sexe.

Je me détends et j'atteins mes limites.

Je regarde vers le bas en la voyant sourire pour atteindre son objectif.

J'emmène mes mains dans ses cheveux où j'ai défait sa queue de cheval et les attache avec mes mains. Assumant ainsi le contrôle de ses mouvements.

— Cette pièce vous est totalement interdite. Compris ? Si tu ne veux pas mourir, n'y entrez jamais ici. - J'ai entendu la voix de la gouvernante et je sais qu'elle est avec Samantha.

— Laissez-la entrer.

Continue...

Autrice: 

Hola chicas y chicos, suis tjs vivante hein, je bosse pour mon bac. 

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