Fatal Obsession - La Saga Des Mafiosi 1

25 - manque

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Heitor Martinelli 🍷

Je sens le froid sur mes jambes et je tire la couverture vers moi jusqu'à sentir les jambes de quelqu'un enroulées autour de mon corps.

J'essaie de voir qui c'est du coin de l'œil sans la réveiller.

Je me retourne lentement et souris en voyant le beau visage de Samantha sur le lit.

Je caresse son visage avec mon doigt, et elle bouge légèrement.

Samantha : Bonjour

Dit-elle d'une voix endormie, les yeux à demi fermés.

- Buongiorno ragazza (bonjour) - son sourire involontaire me pousse à l'embrasser sur les lèvres.

Samantha : Quelle heure est-il ?

- Je n'en ai aucune idée. Je viens juste de me réveiller aussi. - Je me redresse dans le lit jusqu'à sentir mon dos contre la tête de lit.

Je soupire doucement.

Hier soir, il s'est passé quelque chose que je n'aurais jamais imaginé.

Samantha et moi n'aurions pas dû avoir de contact physique, mais c'est arrivé et je ne sais pas comment réagir.

Samantha : À quoi penses-tu ?

Ses doigts touchent mon torse, et je fixe son beau visage.

- À rien - je mens.

Samantha : Heitor... Ce qui s'est passé hier, eh bien...

- Ne t'inquiète pas pour ça, d'accord ? - Je prends son visage dans mes mains et l'embrasse sur le sommet de la tête. - On n'a pas besoin d'en parler si tu ne veux pas.

Elle ne dit rien, alors je me lève du lit et ramasse mes vêtements éparpillés sur le sol.

Samantha : Cela ne se reproduira pas ?

- Je ne sais pas. Laissons le temps décider. - dis-je froidement.

Elle soupire, et je me retourne pour la regarder.

Sa main est sur son visage, et quand je m'en rends compte, je vois des larmes couler sur ses joues.

J'essaie d'ouvrir la bouche pour lui demander ce qui ne va pas, mais elle se lève et court vers la salle de bain.

Ai-je dit une bêtise ?

Je hausse les épaules et termine de fermer la fermeture éclair de mon pantalon.

Je sors de la chambre sans faire le moindre effort.

Salvatore : Bonjour, cazzo.

- Bonjour - dis-je en passant devant Salvatore. - Au fait, Ta cicatrice au sourcil  n'est pas si mal.

Il rit doucement, et j'entre dans ma chambre pour prendre une douche froide et essayer de me débarrasser de cette étrange sensation.

Giovanni Franconelo

- Merde. Je suis sûr que ce salaud a découvert notre plan.

Comment se fait-il que je n'aie pas encore éliminé ce Martinelli ?

Sérgio : Calme-toi, fratello, je suis sûr qu'il a au moins reçu notre avertissement.

Je fixe avec haine le blond aigri assis en face de moi, un verre à la main.