Partie 7

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Le jour J

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Le jour J

Après avoir passé quasiment 3 jours séquestré dans une espèce de chambre c'était le jour de ma libération.

Al Hamdullilah la veille Seymin ma permis de prendre une douche et il m'avait ramené une brosse à dents donc Al Hamdullilah l'hygiène.

La porte de la pièce c'est ouverte sur Seymin qui avait encore une fois un sachet dans les mains.

Seymin : Tiens j'espère que tu vas aimer.

Il a déposé le sachet sur le lit puis il est sortie de la pièce. Je suis donc partie ouvrir le sachet et c'est surprise que j'ai vu :

- 2 Abayas : une rose pâle et une vert d'eau, elles étaient trop belles !
- 3 khimars, pareil la même couleurs que les Abayas sauf qu'il y'en avait un autre qui été blanc.
- 3 bonnet de la même couleur et...

Oh nan la honte ! Des sous vêtements !
Une brassière noir et deux culottes une rouge et une noir. C'était les culottes du marché oh nan nan j'étais trop trop trop gêné.

J'ai donc vérifié pour voir si la porte était bien fermé et j'ai enfilé la Abaya rose et le Khimar qui va avec.
Avec évidement les sous vêtements mdrrrrr omg la gênance mais au moins il à pensée à tout.

J'étais trop trop trop impatiente de sortir d'ici j'avais trop hâte de retrouver ma mère, trop hâte de la rassurer, trop hâte de voir si mes frères allaient bien, surtout Bilel. Trop hâte de retrouver Rania et Inaya et leurs raconter absolument tout !

Ce que j'ai vécue c'était comme une chronique carrément.

Mais alors que l'euphorie et l'angoisse commençait à monter peu à peu en moi la porte c'est ouverte.

Mon sourire c'est vite effacé quand j'ai vu que ce n'était pas Seymin qui l'avait ouverte mais un autre gars, c'était celui qui m'avait frappé au visage la première fois.

Un petit peu gros, pas de barbe juste du duvet, un double menton, assez petit de taille, il était tassé carrément. Il était tout boudiné dans son survêtement, il avait un gros nez écrasé, il dégager une odeur de transpiration désagréable et en plus de ça w'Allah il avait la bouche tordu. Je sais pas comment mais il avait une lèvres qui disait merde à l'autre et ça lui faisait une lèvre tordu. Il avait aucun charme vraiment.

Quand il m'a vu il a froncé les sourcils et il a dit un truc qui m'a grave choqué :

Gars : Pourquoi tu joues la hlel p'tite pute mon pote il t'a baisé et tu t'es voilé.

《Neyla : Mon amour interdit.》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant