Fatal Obsession - La Saga Des Mafiosi 1

12

Heitor Martinelli

Samantha : S'il te plaît, arrête...

Dit Samantha lorsque mes lèvres touchent sa peau. Je rapproche encore plus nos corps.

Ses gémissements augmentent mon désir, et ce n'est pas bon du tout.

Ma luxure me supplie de l'embrasser, et c'est ce que je fais. Je presse nos lèvres, mais Samantha ne répond pas. Têtu, j'insiste et la force un peu.

Touché.

Elle a répondu.

Ses lèvres sont charnues et sucrées. J'ai l'impression qu'elle n'a pas beaucoup d'expérience en matière de baisers, mais c'est tout de même surprenant.

Samantha gémit assez fort pour attirer l'attention de mon "petit ami", et, sans le vouloir, je finis par avoir une érection extrêmement visible.

C'est étrange, cela fait longtemps que je n'ai pas ressenti cela. Son genou touche ma cuisse, et je finis par gémir au milieu du baiser. Elle a souri.

Putain, mais comment son sourire est beau ...

Mon corps chauffe encore plus quand je sens son corps toucher le mien, et à ce moment-là, je l'ai repoussée.

Elle est la fille de mon ennemi et elle est ici pour me servir et être commandée.

[...]

— Emmène-la dans la chambre. — Dis-je d'une voix ferme.

Gouvernante : Oui, monsieur. Allons-y.

Samantha est emmenée par la gouvernante et, en quelques secondes, disparaît de ma vue.

Salvatore :Quel scandale c'était, hein?

— De quoi parles-tu? — Je demande en me tournant pour faire face à Salvatore.

Salvatore :Tu as provoqué le plus grand scandale et tu as failli perdre la tête.

— Tu étais là? Je ne t'ai pas vu. — Je demande en me grattant la tête.

Salvatore : J'y étais, mais j'étais un peu occupé, si tu vois ce que je veux dire.

Il m'a regardé malicieusement.

Stefano :Tu es déjà de retour, frère?

— Oui. Mais je vais déjà dormir, au revoir.

Salvatore : Notre grand frère a défendu la ragazza et a failli perdre la tête.

Stefano : Samantha?

— Taisez-vous. — Je les regarde, et ils rient.

Salvatore :Elle est très belle, n'est-ce pas?

Stefano : Oui, molto bella.(Très jolie)

Salvatore : Dommage qu'elle ne soit pas disponible pour nous.

— Elle n'est pas à moi. Je vais juste l'utiliser pour ma vengeance, puis je me débarrasserai d'elle. Maintenant, laissez-moi tranquille.

Je commence à monter les escaliers et les laisse à leur conversation. Mais, en haut des escaliers, je me retourne.

— Stefano, à partir de demain, tu donneras des cours d'italien à la ragazza.

Stefano : Et pourquoi moi?

— Parce que je te le dis.

Salvatore : Tu aurais dû m'écouter quand je t'ai dit d'apprendre le russe et non l'espagnol