Fatal Obsession - La Saga Des Mafiosi 1

24 - tu seras tjs à moi🔞

Samantha Casteli

C'est tellement ennuyeux de ne pouvoir rien faire d'autre que de regarder le plafond en attendant que quelque chose, même si c'est petit, se produise.

- ça suffit. - Je me dis et avec une extrême précaution je me lève du lit, mes mains sont bandées et elles brûlent beaucoup.

Quelle belle idée de me jeter du 1er étage !

Qu'avais-je l'intention de faire ?

En fait, je sais très bien que mes chances de mourir étaient de 10 % sur 100 %.

Je pense que je n'ai fait cela que pour essayer d'atténuer la culpabilité que je ressentais.

Même si je ne me souviens pas de mon père !

Ce qui n'était apparemment pas une personne formidable.

Je m'appuie contre le mur parce que mes jambes sont faibles, mais je finis par tomber et je suis frustrée..

- Tu veux savoir ? Je vais ramper, dis-je nerveusement.

Je m'appuyai sur l'une des portes et montai lentement.

Je remercie Dieu d'avoir déjà pris une douche, alors j'ai juste enfilé un pyjama et je me suis endormi.

Mais mon pyjama était sale.

Et pour aggraver les choses, tout ce que je pouvais faire était de porter la chemise de nuit en tissu fin que j'avais achetée avec Leonor.

- il faudra le faire. - Je prends le vêtement et me change lentement.

J'ai pris une profonde inspiration car j'ai ressenti une douleur dans le dos.

Je me suis retournée et j'avais l'intention de verrouiller la porte et de dormir, mais alors que j'attrapais la poignée de porte, la silhouette d'Heitor a envahi ma chambre.

Ses yeux verts fixent les miens et mes cheveux se dressent.

Son regard glissa doucement sur mon corps et me réchauffa en quelque sorte.

A tel point que je m'assois timidement au point de croiser les bras pour cacher mes seins.

Sa bouche est entrouverte et cela me remplit de nervosité.

À quoi pense-t-il à ce moment précis ?

Heitor : Samantha, nous devons parler

Son ton de voix est à la fois doux et sérieux.

Je perds le contrôle alors que je regarde ses lèvres et alors que j'étais sur le point de tomber, ses bras me tiennent fermement, faisant sortir un bref Gémissement rauque de ma bouche.

J'ai fermé les yeux et lentement ses bras ont commencé à me lâcher.

Son visage est proche du mien, et ça ne me plaît pas du tout.

- Heitor, je ne sais pas combien de fois je vais devoir m'excuser, ni comment mettre fin à cette douleur que tu ressens, mais je veux quand même que tu saches que je suis avec toi. Même si je suis ton ennemi, je serai à tes côtés.

Son doigt m'a fait taire et je l'ai regardé.

Son doigt glissa brièvement sur ma lèvre inférieure et nos regards se fixèrent.

Heitor : je veux m'excuser

Dit-il mais je n'ai exprimé aucune réaction.

- pourquoi? C'était la faute de mon père si tu es comme ça, non ?

Heitor passa de nouveau ses bras autour de ma taille et je soupirai doucement.

Heitor : tu n'es pas ton père, en fait tu ne l'as jamais été

Mon visage était tiré plus en avant.

- est-ce que tu me détestes ? - J'ai demandé un peu avec hésitation

Heitor : Je jure que j'ai essayé de te détester de la même manière que je déteste ton père. Mais depuis que tu as envahi ma douche, tout a commencé à changer. Et quand tu m'as sauvé ce jour-là..

Il sourit sans montrer les dents et sourit brièvement.

Hector : Je ne te déteste pas et je ne peux pas te détester, parce que d'une certaine manière... je tombe amoureux de toi.

Mes yeux s'illuminent à sa réponse et sans m'en rendre compte, je suis attiré par un baiser.

Un mélange d'émotions traverse mon corps et je ne sais pas comment y faire face.

Je posai une de mes mains sur son visage et l'autre sur sa poitrine.

Mon corps le réclame, le désire, le ressent et a besoin de ses contacts.

Ma tête est farouchement tirée en arrière, laissant place à mon cou et rapidement occupée par ses lèvres.

Sa fine barbe au contact de ma peau me fit gémir doucement et ferma les yeux.

Sans me rendre compte que mon corps était appuyé contre le mur, je frissonnai en sentant le froid dans mon dos.

Heitor sourit, me regardant dans les yeux et se dirigea vers la porte, la verrouilla et revint vers moi.

Un nouveau baiser commença, mais cette fois avec plus de sentiments et de plaisir.

Mes jambes sont autour de sa taille et ses mains agrippent fermement mes fesses, la douleur que je ressens à cause de l'accident et l'excitation de ce moment sont exaspérantes.

Il s'est déplacé vers le bord du lit, où il a placé mon corps sur le lit et a enlevé sa chemise.

Je me mords la lèvre inférieure quand je vois son corps si exposé.

Il a un corps magnifique avec quelques, non, plusieurs cicatrices. Principalement au dos

Il n'en fallut pas plus pour que son corps retrouve le mien.

Sa main gauche glissa le long de mes jambes et l'autre tenait fermement mon cou.

Ma respiration devient difficile après avoir senti mon mamelon être sucé et léché.

- tu es la femme la plus sexy que j'ai jamais eue... - Je l'entends murmurer à mon oreille et je ferme les yeux - Samantha tu es et tu seras toujours à moi

J'entends le bruit du paquet qui se déchire (préservatif) et j'ouvre les yeux.

Je le vois retirer son sexe de l'intérieur du caleçon qu'il portait et de la taille je déduis que je ne pourrai pas m'asseoir pendant environ 2 jours.

- ça ne rentrera pas... - Dis-je en regardant toujours son sexe.

Il a juste souri d'une manière taquine.

- ne t'inquiète pas, ça ira et tu l'aimeras tellement, que tu me demanderas de ne pas m'arrêter

Mes jambes sont tirées et ses mains me ferment la bouche.

Son membre entra lentement et sortit avec la même intensité.

- Fais de moi ta femme.. - Lui ai-je murmuré à l'oreille.

Ma taille s'est resserrée et ses poussées sont devenues plus fortes.

Le lit tremble et je me mords la lèvre en essayant d'étouffer certains de mes gémissements pour qu'ils ne sortent pas trop fort.

Sa main se resserra autour de mon cou et son pouce glissa sur ma lèvre alors qu'il s'enfonçait plus profondément.

-... - mon corps s'est contracté dès que j'ai remarqué le deuxième orgasme que j'ai eu, lentement il s'est arrêté et a relâché mon cou.

- Heitor ....- dis-je avec ma poitrine qui tombe et se soulève trop vite

- nous n'avons même pas commencé, mi Corazón - Dit-il juste avant de m'embrasser à nouveau