La voiture de Sean se gare devant chez moi. J'ai la boule au ventre, je n'avais pas envie de rester. Heureusement, Sean m'a laissé dormir et ne m'a pas réveiller de la nuit.
Je me suis levée vers onze heures, puis j'ai pris une douche et j'ai enfilé des vêtements. Il m'a prêter une chemise en jeans aussi, mais il ne faisait plus froid. Seulement, je ne voulais pas la lui rendre, j'avais envie de la garder.La il est quinze heures.
Sean à sa main pose sur la mienne. Il me regarde et me sourit.Sean : ça va aller ?
Je hoche la tête.
Moi : merci, Sean.
Sean : c'est normal.
Je voulus ouvrir la portière mais il me retenait avec son bras. Je me tourna vers lui, il me fixa pendant de longues secondes sans rien dire, puis il me prit par le cou et plaqua ses lèvres sur les miennes.
Je ne m'attendais pas à ce qu'il m'embrasse, alors je ne lui ai pas rendu son baiser. Mais ça ne m'avait pas déplu, au contraire. Juste que ce n'est pas le moment.
Je me retira de lui et ouvrir la portière.
Moi : au revoir Sean.
Sean : bye.
Je ferma la portière et entra dans la maison. Il y avait des voitures, dont celle de mon père. J'avais laisser la mienne à l'hôpital la veille, et j'avais couru jusqu'au lac. Je ne m'étais même pas rendu compte de la distance sur le moment.
J'ouvrais la porte d'entrée, tous les regards se braquèrent sur moi. Mon père se leva et vint vers moi.
Papa : Galbi, oh merci tu n'as rien.
Je le regarde sans lui répondre.
Papa : ou est-ce que tu étais ? J'ai failli appeler la police, je t'ai chercher partout.
Moi : elle est la ?
Il hochait la tête.
Papa : elle est arrivée ce matin, elle est là haut.
Je ne dis bonjour à personne et je monte les escaliers en courant, suivit de Fakir qui aboyait. Je me rendis devant la porte de la chambre de ma soeur et ouvris celle-ci.
Elle était debout face à son armoire. Elle portait un t-shirt rouge et blanc et un jeans. Ses cheveux étaient remontés en chignon.On se fixa longuement sans se dire un mot. Ça se voyait qu'elle n'allait pas bien, et elle avait l'air fatigué. Je fis un pas vers elle, elle plaça ses deux mains sur son visage commença à pleurer. Ça me déchirait le coeur.
Je m'approche et la prit dans mes bras. J'avais une main dans son dos et l'autre caressait ses cheveux noires et doux. Ma soeur c'est toute ma vie. C'est la seule qui me reste.
Moi : ne pleure pas Farah.
Elle reniflait dans mon cou. J'essayais de la consoler du mieux que je pouvais, mais parfois ce genre de chose ne se console pas. Il faut du temps pour que ça cicatrise.
Moi : je suis désolé.
Farah : Naya...
Elle pleurait de plus en plus fort, et je tentais dans bien que mal de la calmer.
Au bout de cinq minutes, ses pleurs étaient moins bruyant. Je déposa un bisou dans ses cheveux et je m'écartais d'elle afin de voir son visage.Il était tout rouge. Avec mes doigts, j'essayais les larmes qui voulait sur ses joues, puis je lui dis un bisou.
Moi : je suis là, pleure pas.
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Pillowtalk
RomanceComment peut-on s'aimer et se faire du mal ? Comment peut-on se désirer et se détruire ? Comment peut-on pardonner sans oublier ?