Prologue

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Elle me l'avait promis, Elle m'avait promit que tout se passerai bien. Ce matin-là, il y bientôt 11ans jour pour jour, elle devait se rendre à la clinique pour faire une prise de sang. A ce moment-là, j'avais seulement huit ans et je ne savais pas que faire ce genre de chose n'avait rien de dangereux. Aujourd'hui j'en ai bien conscience. Malgré mon appréhension elle était partie en me faisant un de ses plus grand sourire, ceux qu'elle faisait pour me rassurer. C'était une grande femme mince aux cheveux d'or et aux yeux bleu océan. J'étais rester avec mon père, on avait joué à cache-cache et à la poupée. C'était génial, j'aimais beaucoup jouer à cache-cache mais étant fille unique je n'avais personne - excepter mes parents - pour y jouer. On avait ensuite manger des pâtes au saumon - mon plat préféré - et comme il faisait beau dehors, il m'avait amené au coin de la rue pour manger une glace à la fraise. On avait marché au bord du lac, donnant à manger aux canards et aux oies tout en se rappelant nos plus beaux souvenir ensemble et également les plus drôles, nous avions marché presque une heure quand je commencer à avoir mal aux jambes et comme je me plaignais souvent - ce que j'aimerais particulièrement faire - nous étions rentrés à la maison. Cela faisait près de deux heures qu'elle était partie mais je ne me doutais de rien après tout, elle m'avait dit que tout irait bien, elle me l'avait promis ! Mon père et moi nous avions continué notre journée qui semblait si parfaite, en jouant à Mario Kart en sur notre vieille Game-Cube, et comme d'habitude je l'avais battu à plate couture. C'est vrai que, en y réfléchissant, aujourd'hui avec du recul, cela faisait bien une demi-journée qu'elle était partie. Je voyais bien que mon père était soucieux, mais je n'y avais pas prêté attention. Nous avons alors continué à jouer à la poupée, seulement, de temps de temps il passait des coups de fils mais cela ne durait jamais très longtemps, c'est pour cela que j'en est conclue que, à l'autre bout du fils, ça ne décrocher pas. Pendant près de trois heures, il s'était donné du mal pour jouer avec moi à la poupée et à la dinette, avec calme et patience...

                Vers 19 heures, quelqu'un à sonnet. Mon père à instantanément stopper notre activité pour descendre en toute hâte et se rendre dans la vaste de salon et donc rejoindre la grande porte en bois placer à droite du canapé de cuir brun. Je l'avais suivi de près, intriguer par cette réaction soudaine, ce qui n'étais pas dans les habitudes de mon père. Il avait ouvert la porte et j'avais remarqué un léger tremblement dans ses gestes. Dehors se tenait deux grands hommes et une femme dans des uniformes bleu foncé et noir. Ils avaient une ceinture avec un revolver ranger dans un étui fermer. Maintenant je sais qui ils sont, évidemment mais avant je ne savais pas vraiment ce que tout cela voulait bien signifier. En les voyant là, poster devant la porte mon père était devenu livide et il avait tremblait de plus bel. Il m'avait demandé de monter dans ma chambre, ce que j'avais fait en courant, je ne comprenais pas, mais je savais qu'il se tramer quelque de grave, car pour mettre mon papa dans un état pareil, il en faut beaucoup. La femme en uniforme m'avait rejoint au bout de quelques minutes. Elle était très belle d'ailleurs je me rappelle de ses cheveux auburn et de ses yeux verts. Elle s'était assise à mes côtés sur le lit et m'avait demandé si j'aimais bien ma maison, si je m'entendais bien avec mon père et avec mes grands-parents, si j'avais des amies. Toutes les réponses étaient évidemment positives, j'aimais la vie J'aimais ma vie. Au bout d'un quart d'heure envions (qui m'avait parue beaucoup plus longtemps), l'un des grands hommes était venue nous voir et avait parler à la femme, il parlait trop bas je n'ai donc pas pu entendre ce qu'il lui disait. Nous nous étions levées et elle m'avait accompagné dans les escaliers. Arriver dans le salon elle s'était poster derrière moi. Et j'entendais des pleurs. Ceux de mon père. J'avais compris, les larmes me brouiller la vue, j'ai ensuite sentis les mains de la femme aux yeux vert se poser sur mes épaules. Le monde s'écrouler devant moi, ça ne pouvait pas être possible, mais malheureusement ça l'était

C'est ainsi que le 11 Octobre 2005, j'avais perdu ma mère dans un incendie.

Unrealistic [EN CORRECTION]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant