Unrealistic [EN CORRECTION]

Chapitre 34

Je regarde mon père dans l'espoir de voir de l'humour dans son regard, mais je n'y trouve que la colère et l'incompréhension. Est-il monté dans ma chambre ? Mon Dieu, s'il avait vue la fille pleine de sang sur mon lit, non, impossible il est resté derrière moi lorsque j'ai parlée aux policiers. Mais alors que veut-il dire par là ? Je tente une approche assez simple :
- De quoi tu parles ?
- Ne te moque pas de moi, Tracey, tu sais très bien où je veux en venir.
Mais, mince alors, je commence à douter, est-il monté dans ma chambre sans que je m'en aperçoive, dans ce cas' pourquoi n'a-t-il rien dit à la police ?
- Papa, je commence, je ne sais vraiment pas de quoi tu parles.
J'ai parlé calmement en articulant sur chaque mots, dans l'espoir qu'il se contente de cette explications pourri.
- eh bien, tu es décidé à ne pas coopérer, suis-moi.
Mais qu'est-ce qu'il raconte, il a perdu la tête ou quoi ? Je le suis tandis qu'il monte les escaliers et il traverse le couloir en direction de ma chambre. Aïe aïe aïe ! Je le déplacement et m'intéresse entre lui et la porte avant qu'il est eu le temps de prendre la poignet. Il ne peut pas entrer dans cette chambre, il ne DOIT pas, je risquerais trop s'il découvre cette fillette. Mais ça ne semble pas le ralentir, d'un coup, il me repose sur le côté et pendant que je m'ecroule sur la moquette bordeau du corridor il ouvre la porte sans hésitation. Je retiens ma respiration tandis qu'il écarquille les yeux et reste le regard bloqué sur mon lit. Je me relevé et le rejoins dans ma chambre. Mais ce n'est pas une petite ensanglanté  que je découvre étendu sur le lit, mais Cameron et Aria en train de lire chacun un livre, qu'il ont du prendre dans ma bibliothèque, un regard vers celle-ci permet de me le confirmer. Mon père' après les avoir longuement observé, se tourne vers moi, abasourdi.
- Je, je vais vous laissez, articule mon père tout en sortant de la chambre.
J'entends ses pas qui descendent, il est maintenant dans la cuisine, je peux parler sans risquer qu'il m'entend.
- Qu'est-ce que vous faites là, et où est la petite ?
Aria et Cameron rangent les livres dans les bibliothèques avant de s'avancer vers la lit et tirer le draps blanc d'en-dessous, la petite, toujours endormis à mon départ est maintenant réveillé, du moins elle a les yeux ouverts. Cameron commence :
- Tu nous explique ? Le ton de sa voix est glaciale.
- Hier' quand nous sommes aller nous nourrir, la petite semblait si gentille alors ce matin avant l'aube, je suis allée à la maison' je devais y aller comme une sorte d'hommage si on peut dire. Mais veux que j'ai trouver dans la maison été vraiment bizarre,  la famille à disparue tous sauf elle, mais elle m'a avertis, quelqu'un d'autres y été présent également et il nous voulait du mal, je ne pouvais pas la laissez la toute seule, alors je l'ai ramener ici. Puis je me suis souvenue qu'elle allait muter alors je lui est donné du sang dans l'espoir que ça se passe sans trop de douleur et elle s'est endormi, c'est a ce moment là que ...
- Que la police est arrivés, dit Aria
- Oui.
Je suis honteuse, mais il est vrai quand peut importe la situation, je n'aurais pas laissé cette enfant seule avec d'autres vampires.
- Bien, Aria à amener de veine de venus, ça va l'affaiblir fortement, mais elle ne sentira rien, comme pour toi' m'explique Cameron. Cela risque de prendre du temps, peut être un moi ou deux en fonction de sa taille et son poids. Le fait, qu'elle sois petite diminue le temps de mutation, je voudrais pendant celui-ci qu'elle reste chez toi et que tu t'occupe d'elle comme tu peux' donne lui du sang et soigné sa morsure. Et le plus important n'invite personne à entré !
- Oui' d'accord. Je réponds
Je ne sais pas si vais réussir à m'en occuper correctement, même moi je ne peux déjà pas me contrôler vraiment. Mais je peux réussir et puis je lui doit bien ça, c'est de ma faute si elle est dans cet état aujourd'hui.
Aria prend la parole :
- Bon, la dernière fois, je suis partis un peu vite, mais finalement tout va bien, j'ai cru que quelqu'un avait ensorcelé le carnet mais un sort de détection m'a bien montrer que non. Donc la prochaine étape c'est de trouver les grimoire de ta mère' afin de connaître la vrai étendue de tes pouvoirs. Tu as une idée d'où ils pourraient être ?
- Non, vraiment pas, mais après tout peut être sont-ils encore à Atlanta ?
- Hum... Possible.
Nous remettons la fille sous mon lit avant de descendre dehors.  J'ai l'impression d'être devenue horrible depuis hier. Pourtant, il va bien falloir que je me remette à mes recherches sur la mort de ma mère.
- Tracey, t'es rêves, tu en fais encore ?
- Non, plus aucun.
Et c'est la pur vérité, depuis mon vampirisme les rêves ont stoppés, je ne sais pas si c'est une bonne nouvelle ou non. Enfin, j'ai les informations qu'ils me faut après à moi de chercher seule. Cameron me prend la main et plonge son regard dans le mien. Je lis dans son regard de l'inquiétude. Aria elle est plongée dans ses pensées semble avoir une idée en derrière la tête, mes pensées s'avèrent juste' lorsqu'elle s'exclame :
- Je sais, hurle-t elle
- Moins de bruit, hurle mon père.
je ricane et elle me jette un regard noir, je sais bien qu'elle déteste ce faire réprimander, encore plus par les parents de ses amis. Quelle fayotte !
- Bon, reprend-t elle,  pour la prophétie, je pense que c'est ta maman qui l'a garder pour te protéger, elle est écrite sur du parchemin en feuille de sureau' dans un grimoire selle par des incantation que seule, l'élue, autrement dit, toi peu ouvrir. Donc si on trouve le grimoire, on aura fait déjà un grand pas vers la destruction de Souman. Je pense qu'on doit allé chez toi, je veux dire à Atlanta.
- Quand
- Demain ? Propose Cameron.
Non, je réponds, je dois passer mes examens, partons plutôt la semaine prochaine.
- D'accord.
-D'accord.

Une semaine plus tard nous étions en route vers Atlanta.