Unrealistic [EN CORRECTION]

Chapitre 35

Je serrais tant fort mes dents que j'aurais pu me rompre les mâchoires. L'atterrissage de l'avion était toujours malheureusement toujours douloureux malgré mon vampirisme. Aria avait voulu se placer à côté du hublot de sorte à pouvoir observer le merveilleux paysage qui s'offrait à nous lors du décollage. Cameron et moi avions déjà prit l'avion de nombreuses fois, alors nous avions accepté de lui accorder la meilleure place. Pendant tout le voyage, nous avions était dérange par un nourrisson qui hurlait et ses parents,  ne semblait pas prendre compte du bruit assourdissant qu'il poussait sans cesse. Main dans la main, Cameron et moi sommes sorti de l'appareil suivit de Aria qui suivait de près tout en déversant un flot de parole concernant les effets de l'essence sur le monde. Je me demandait vraiment comme pouvait-elle sortir autant de mots en une minute. Nous avons prit la navette qui nous a amené à l'intérieur de l'aéroport. C'était grand' et sur chaque mur peint d'un blanc cassé, je pouvais lire "Aéroport internatinal Harsfield-Jackson d'Atlanta" en lettre bleue. Aria qui avait continuer son récit sans remarquer que nous ne l'écoutait pas. Elle finit par l'arrêter à l'instant même où nous avons passer les portes du camp. Elle regardait autour d'elle comme si nous nous trouvions dans un lieu sacré.
- Mais, commença-t-elle, je sais où nous sommes, nous...
Je lui coupe la parole :
- Bienvenue au Harsfield-Jackson, my dear, le plus grand aéroport de tout les États-Unis.
- C'est géant, dans les deux sens du terme.
Je ricane, je trouve cela un peu exagéré d'être émerveillé au sujet d'un lieu si ... commun.
Mais pas une minuit à perdre, nous traversons l'immensité du lieu, je dois avouer que c'est quand même plutôt beau comme endroit, nous passons devant un restaurant éclairer par des Led bleu et blanc et de grande plante grimpent au murs. Le toit est équipé d'un grand vitrail qui reflète la lumière sur les tables en bois polie, une lumière bleue ciel. Les étages ne manquent pas non plus de lumière, les Led bleu et blanc, sont placés méthodiquement afin que nous puissions trouver notre chemin. Nous arrivons enfin devant le tapis roulant d'où une centaine de valises défilent sous les yeux chercheurs des voyageurs, il faut faire vite, on ne peut pas perdre trop de temps avec se genre de détails. Malgré ça, nos valises ne contiennent pas des affaires très commune pour les mortels, la mienne transportent les poches de sang, tandis que celle d'Aria ses livres et grimoires, magique, celle de Cameron contiens des armes' juste au cas où. J'aperçois les trois du premier coup, elle se suivent, par chance les gens on eu la gentillesse de me laisser passer que je prenne les trois,  ce qui les a un peu perturber par contre' c'est que je soulève les trois sans aucune difficulté. Après avoir rendu les valises à leurs propriétaires respectifs. Notre petit trio vampirique, je suis peu dire, s'est dirigé vers la sortie.
Après avoir descendue puis remonter une demi-douzaine d'escaliers touts aussi raide les uns que les autres, nous avons finit par bien trouver la sortie. Un taxi nous attendait dehors. J'ai donné ma vieille adresse au conducteur avant de rejoindre mes amis à l'arrière. J'avais complètement oubliée que les car américain sont bien plus petit que ceux de Londres.
Je suis nerveuse, pour aucune raisons explicable malheureusement. Aria, toujours aussi enthousiasme regarder le paysage défiler. Cameron lui, me toucher les cheveux pour me détendre. Le taxi roulait vite, trop vite à mon goûts,  j'avais peur de retourner dans cette maison. Cela ne faisait pas beaucoup de temps que je l'avais quitté pourtant.
Le taxi entra dans l'alliée et Cameron lui tandis quelques billets verts, beaucoup plus que la sommes dû, celui-ci eu un sourire satisfait mais il s'efface immédiatement lorsque Cameron lui murmura quelques choses, je n'ai pas pu entendre, mais je savais qu'il lui demandait de ne parler de nous sous aucu' prétexte, manquerais plus que Souman débarque ici et nous volent la prophétie, si elle est bien caché ici évidemment.
J'entrais dans le petite véranda et utiliser la clé qui, miraculeusement se trouvait toujours sous le paillasson foutu. La serrure et la clé étaient toute deux rouillées mais je parviens quand même à ouvrir cette porte en bois, derrière ce trouverais le salon intact, comme celui que nous avions laissé, il y a bientôt un an derrière nous. Je poussais la porte doucement, mes yeux s'emplirent de larmes mais je les ravalent. Le canapé de cuir brun est toujours bien placé en face de la télé, même si celle-ci se trouvent maintenant à Londres. J'ai vécu tellement de chose dans ce salon : des cache-cache géant avec mes amis et ma mère  (c'était toujours elle qui s'occupait d'organiser des fêtes), des batailles de polochons et puis des disputes avec mon père, des pleurent et une dernière sérémonie pour le décès de ma mère,  nous avions invités toute la famille pour lui faire un hommage, et celle-ci, c'était mon père qui l'avez organisé.
Aria posa sa main sur mon épaule.
- Ça va aller ?
J'ai fais un signe de tête signifiant que oui, j'allais bien, c'était le passer et je devais mettre ses souvenirs derrières moi. Je sortie dans la rue cachant au mieux ma fiole. Cameron et Aria tenait à venir avec moi. J'ai marcher dans la rue, certains voisins avaient déménager, mais malgré ça je reconnaissais pas mal de tête, Mrs. John's, malgré ses nombreux chats et son maquillage effet pot de peinture, elle était vraiment gentille et pas très vieilles, la cinquantaine, je dirais. Son mari et elle avait divorcé juste avant mon départ pour Londres, j'avais dû aller la réconforter jusqu'au dernier jour de mon départ.  A côté de chez elle, Mrs Winsting, elle était beaucoup plus vieille, elle m'avait un jour avouer son âge, il tournait autour des quatre-vingt, mais un santé parfaite !  C'était une des personnes qui me manquait le plus. Cette petite vieille c'était occuper beaucoup de moi, avant et après le décès de ma mère, je la considérais comme ma grand-mère, comme si je n'ai jamais connus la vrai. J'irai leurs rendre visite demain, il est tard,  la nuit est tombé sur Atlanta, nous ferions mieux d'aller dormir. Nous traversons le jardins, l'herbe à drôlement poussé en un an, avant nous avions un jardinier qui venait deux fois par semaine, pour couper et taillera chaque tiges d'herbes, ensuite il prenait le café avec moi, en racontant ses histoires qui sortait tout droit de son imagination, mais j'aimais beaucoup, elles parlaient de fées et de licornes, et même à quatorze j'adore les entendre encore ! Lui, en revanche n'était pas si vieux, il devait avoir la quarantaine, même pas. Il habite au coin de la rue. Pourquoi ne pas lui rendre visite également ?
Je me couche cette nuit dans mon ancien lit, au côté de Cameron et Aria, elle a prit celle de mon père. Nous l'entendons accomplir un rituel de protection pour la nuit, juste au cas où, mais ça me rassure. Cameron et moi, n'avons pas à dormir, mais le repos est une chose essentiel' alors je pose la tête sur mon vieille oreiller pleins de poussières et ferme les yeux, sans m'endormir.