Je pleurai encore quand la porte c'est ouverte ,d'abord doucement puis d'un seul coup.Je me retrouve vite dans les bras de Louis a pleuré encore et toujours.
-Chut doucement ma belle je suis là.C'est fini.
Et il continue d'essayé de me réconforté en me caressant légèrement le dos,mais j'étais inconsolable .Je libérai tout ce que j'avais enfermé au fonds de moi depuis longtemps.Je savais que j'allais craquer un jour mais jamais je n'aurai cru que ça ce passerai dans ces circonstances, dans la salle de bain de Louis ,en serviette et dans ses bras.
Il fit une chose que je n'ai pas vraiment compris.Il m'a levé,il ma couverte le plus possible avec ma serviette et m'a mis sa veste et ma porté jusque sur le perrons.Il nous couche sur la terrasse et me montre les étoiles.
-Pense à ta chanson.Pense aux étoiles.Pense aux souvenirs heureux que tu a eu avec elles.Ne pense plus qu'au étoiles.Ne pense à rien d'autre.
Dans mon fort intérieur ,je repense à cette chanson qui avais marqué mon enfance.
« 88 constellations,toutes différentes,formé différemment, avec uniquement des étoiles. 88 constellations,toutes brillantes ,belle comme maman,unique au dessus de chaque toit »
Sans m'en rendre compte j'avais arrêté de pleurer.Je me blottis un peu plus contre Louis .On reste silencieux un bon moment et puis il me dis :
-Ça va mieux ?
J'hoche la tête.
Je suis en incapacité de parlé depuis tout à l'heure.J'ai beau essayé de le remercier ou de lui dire autre chose mais je n'y arrive pas.Je crois que je suis toujours en état de choque.
Il me regarde, je le sais ,mais je regarde le ciel,mais amies les étoiles .
Je me tourne finalement.Et son regard capture le mien.Dans un temps indéterminé on reste comme ça a ce regardé.Il me sourie,j'essaye mais comme à notre rencontre et je bloque je n'y arrive pas.Mais je fais une chose qui l'étonne tout autant que moi.Je me rapproche de lui et lui embrasse la joue.Et ne voulant pas voir sa réaction je me cache dans son cou,en profitant de ce moment pour humé son parfum.Je le sens resserré son emprise .
-Je ne veux pas que tu retourne chez toi vivre avec ce malade a côté .
Je secoue la tête pour lui faire comprendre que moi non plus ,rien que de l'imaginé je frissonne .
Il le sent et me caresse doucement les cheveux et dépose un bisou sur ceux-ci.Je m'apaise un peu.
-Tu veux que je dorme avec toi se soir ?
J'hoche la tête vigoureusement.Je le sent sourire contre mes cheveux.
-D'accord. Hey Luna ?
Je le regarde.
-Quand tu pourra parler...J'hoche la tête si tu ose me remercie je te prive d'étoile pendant une semaine.
Je le regarde se moquer de moi et un infime sourie naît sur mon visage et je lui assène une petite tape à l'épaule.Il fit une tête faussement outré.
-On se la joue vilaine fille maintenant et bien privé d'étoile ce soir allez au lit jeune fille.
Il me soulève et me ramène jusqu'à sa chambre.Il me dépose sur le lit.Me souvenant que j'étais en serviette je me relève et me dirige vers mon sac je sors des sous vêtement et mon pyjama se composant d'un short ample et d'un grand tee-shirt et me dirige vers la salle de bain .A mis chemin j'hésite.Je prend une grande inspiration .Je rentre me change au plus vite récupère tous ce que j'avais laissé traîner et retourne dans la chambre.
J'y trouve un Louis, déjà couché sur le lit, seulement vêtus d'un jogging.Je trouve gentil de sa part d'avoir mis un jogging sachant qu'il dort généralement en boxer a ce qu'il avait dis ce matin.
Je me rapproche timidement de lui.Il m'invite d'un geste a venir se blottir contre lui.Ce que je fis.Il avait son bras autour de ma taille on étais collé l'un a l'autre et ça me rassurais d'une certaine manière.Je commençais a m'endormir .Avec lui c'était facile de dormir.
J'étais bien ,J'étais bien avec lui et ça ,ça me fais peur ,parce que tout a une fin.Et si c'était lui qui causerais la mienne... ?
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Sad Girl
RomanceMon nom importe peu dans cette histoire,mon douloureux passé me hante tellement que je ne sais même plus qui je suis . Je ne dors ni le jour ni la nuit car je vie dans un éternel cauchemars . J'ai quitté tous ce qu'il me restait comme vie et j'ai p...