Sad Girl

Chapitre 26

-Je sais ce que c'est de souffrir.On n'a pas tous la même souffrance ,je le sais.Mais je sais que peut importe l'intensité de cette souffrance sa nous détruit.Je sais que tu es brisé.Je ne sais pas qu'es-ce qui a déclenché ça chez toi ,et je sais que te forcé a me le dire ne servirai a rien ,donc petit a petit ,je te laisserai venir a moi ,jusqu'à ce que tu es assez confiance en moi pour te confier librement.Et a partir de ce moment la je sais que le pire sera passé.Parce que je l'ai vécu.Il prend ma main dans la sienne.Je peux t' aidé Luna et je le ferai mais il faut que tu le veuille .

Il avais dis tout ça avec tant de sincérité,tant d'aplomb mais aussi de tendresse que j'avais presque envie de tout lui dire d'un coup .

Il fais le tour du comptoir afin de supprimé la distance qui nous séparais .

Je baisse la tête.

-Louis ?

-Oui.

-Je le veux tu sais,mais je sais pas comment faire ,je bloque,j'ai jamais été habituer a parlé de moi,enfin oui avec mes frères mais je n'ai jamais été capable de parlé de mes sentiments ,mes émotions même avec mes frères c'était compliqué.

-Ne t'inquiète pas je vais t'aidé.

J'hoche la tête.

-Allez maintenant mange.

-Oui monsieur.Mais après je pourrais rejoindre ta mère?ça fais longtemps que j'ai pas travaillé ça me manque.

-Tu veux pas te reposé avant ?

-Non ça va ,en plus j'ai dormi presque toute la nuit,je baisse la tête ,j'ai connu pire niveau fatigue.

-Bon okey ,mais alors tu fini toute ton assiette.Je fis une petit moue.Ne fais pas cette tête c'est pour ton bien. J'hoche la . Allez goutte et dis moi si c'est bon.

Je porte une petite bouché de pâte a ma bouche.Je n'en revient pas c'est délicieux.C'est si bon qu'un gémissement de plaisir sort de ma bouche,ce qui n'échappe pas a Louis.Il rigole.

-Je vais prendre ça pour un oui.

-Non c'est pas bon ,c'est mieux encore c'est délicieux,avec nostalgie je rajoute,ça me rappel les bons plats que ma mère nous faisait quand on était petit.

Un sourire fier s'installe sur son beau visage.

-J'en suis flatté alors.

Entre deux bouchées je m'autorise a lui posé quelques question.

-Qui t'as appris a cuisiné ?

-En faite j'ai appris tout seul.

Je suis plutôt surprise,je fronce les sourcils.

-Tu vois après la mort de mon père,maman était au plus bas je te l'ai dis tout à l'heure, j' hoche la tête,elle n'avais ni l'envie ni la force de manger alors n'imagine même pas cuisiné.Je prend automatiquement sa main et entrelace nos doigts,il me gratifie d'un sourire. Au début ma voisine venais de temps en temps mais après ça a été a moi de cuisiné donc j'ai appris malgré moi a cuisiné,je suis passé du sandwich jambons-beurre au pâte,jusqu'au coq au vin.C'est de là que m'est venu mon goût prononcé pour l'art culinaire.

-En tout cas ,c'est très bon,j'espère que tu va me faire goutté tes spécialités.Si c'est aussi bon que tes pâtes je risque de vite retrouvé mon appétit.

-Bon point pour moi alors.

-Peut être.

On fini de mangé en discutant.Ce n'est que quand je décide de débarrassé les assiettes que je me rend compte que depuis qu'il m'avais parlé des origines des sa passions pour la cuisine jamais nos mains ne c'étaient délacé.

Quand je m'en suis rendu compte je crois que j'ai rougis,lui il à souris.

J'ai fais la vaisselle malgré les nombreuses plaintes de Louis puis celui-ci est allé je ne sais où.

Quand j' eu fini de tous nettoyer.Je me dirige vers la chambre de Louis afin de le prévenir que j'avais fini mais ne le trouve pas dans celle-ci.Je retourne dans le salon mais il n'y est pas .Je fais donc une visite improvisé de la maison afin de mettre la main sur le grand blond.Je découvre donc la bibliothèque dont Louis m'a parlé tout à l'heure ,mais je n'ai toujours pas de signe de sa présence donc je décide donc de regardé s'il n'étais pas dehors.Arrivé dehors ,je trouve Louis assis sur le perron ,je m'assoie a coté de lui.Sans pour autant parlée.

Il regardait devant lui,loin devant lui,au-delà de l'horizon ,et je pense qu'il n'a pas senti ma présence a ses coté jusqu'à ce que je brise le silence.

-A quoi penses tu ?

Il fut d'abord surpris ,il m'a regardé droit dans les yeux un instant et a fini par répondre :

-A toi.J'essaye de te comprendre,tu est un tel mystère.

Je souffle et regarde le ciel,Il fais encore jour ,il n'est pas loin de seize heure et le vent commence a être plus frai.Dans quelque jours on sera en octobre et ça n'ira pas en s'arrangeant .Tout comme moi le moi d'octobre est un mois plein de mauvais souvenir.

-Louis ,il y a des choses qui ne se comprennent pas.

-Mais moi je suis persuadé que je peux te comprendre.

-Tu peux ..oui ...mais de se qu'on peut faire ,il y a certain que l'on a pas le droit de faire.

-Tu m'a donné il y a à peine deux heures le droit de t' aidé a avancer, donc maintenant donne toi,a toi même ce doit là.

Il m'embrasse le front et se lève et me laisse médité sur ces dernières paroles.