chapitre 51:

1.6K 62 0
                                    

sauf que pendant le trajet mon portable sonne, je l'avais mis sur le port téléphone.
Moi (toute seule) : ah Smalling.
Moi : oui Mme Smalling
Mme Smalling : je vous avais dit de venir dans mon bureau une fois débloqué.
Moi : excusé moi mais j'aimerai juste aller rassurer ma femme et embrasse ma fille.
Mme Smalling : je vous veux demain avant que votre garde commence.
Moi : je serais là.
Je raccroche je suis arrivé devant la maison. j'ai à peine ouvert la porte qu'Alex c'est jeté dans mes bras en passant ces jambes sur mes hanches elle vient mettre sa tête dans mon cou.
Moi : hey je suis là bébé.
Alex redescend sur ces jambes et m'embrasse.
Alex : pourquoi tu as été faire sa.
moi : j'ai plus envie de parler de sa Alex. Je vais aller faire un bisou à Mia.
Alex : elle dort dans notre lit.
Moi : comment ça se fait quelle dort dans notre lit est pas dans le sien.
Alex : quand l'on est rentré je ne voulais rien faire j'ai pris Mia avec moi dans le lit et elle s'est endormi sur ton oreiller.
Je monte à l 'étage et retrouve ma fille endormie dans notre lit, je m'allonge à côté d'elle, Alex qui ce pose de l'autre côté. Je sens son regard sur moi. Mais avant de parler je vais poser Mia dans son lit.
Moi : Alex pourquoi tu me regarde comme ça.
Alex : je te regarde normale.
Moi : non tu me regarder avec des yeux qui disent « dis-moi pourquoi tu as fait sa dis sinon ça va pas le faire ».
Alex : peut-être mais comment tu peux savoir ce que je pense.
Moi : je te connais.
Alex : tu comptes me parler de ce que c'est passer aujourd'hui.
Moi : le patient est arrivé aux urgences, l'ambiance a dit blessure par balle. j'ai donc commencé à l'emmener aux urgences mais un policier est arrivé pour me dire que ne n'est pas une balle mais une bombe. Après tu sais la suite.
Alex : tu es folle de faire sa.
moi : folle de toi.
Alex : je rigole pas Arizona là. Tu n'as pas besoin de toujours te prouvait que tu peux le faire.
Moi : j'étais la seule de libre qui pouvais le faire. Et un peu de terrain fait pas de mal.
Alex : tu as qu'à repartir si tu aimes tant ça.
Moi : je n'ai jamais dit sa Alex.
Alex : tu le penses très fort alors.
Moi : dit pas ce que je n'ai pas dit.
Alex : tu vas alors jamais comprendre ce que je peux ressentir.
Moi : non, j'arrive peut-être pas à te comprendre mais moi aussi j'ai vécu loin de toi aussi, et moi j'avais la guerre en plus.
Alex : tu n'avais pas la peur de perdre la personne que l'on aime plus de tous. Dormir dans notre lit sans toi, vivre ici sans toi.
Moi : tu es entrain de dire que tu me manques pas mais tu es folle là. Ce qui me manqué le plus c'était toi comment tu peux dire sa.
Alex : je sais pas j'en est juste mare.
Moi : je vais dormir sur le canapé alors.
Je prend mon oreiller une couverture dans le placard et vais retrouver le canapé du salon.

Une nouvelle vie à deuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant