Ceci est dédié à vous ; écrivains désespérés, amateurs du récit en panne d'idées. Heureusement pour vous, je suis là moi et mon esprit un peu tordu, qui ne s'arrête jamais de concocter toutes sortes de scénarios tout aussi étranges que loufoques.
Ma...
Evelah n'est pas une jeune femme comme les autres ; elle a un talent, un don offert par le ciel.
De ses mains habiles et délicates, elle peut tisser les sentiments. Vous faire un superbe manteau avec un soupçon de courage, une paire de gants avec de l'impassibilité, ou encore de beaux collants avec une étincelle de joie.
Mais pour cela, quelqu'un la recherche. Quelqu'un de puissant, quelqu'un capable de bien plus qu'on ne le pense.
Le Dieu de la Mort.
Cover : Non faite.
Casting :
Janet Montgomery en Evelah
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Idée :
Théoriquement, cette idée ne m'appartiens pas. Je m'explique : J'ai lu, il n'y a pas longtemps, un livre qui s'appelle The Curse. Il était gé-n-ial. Mais passons, dans ce livre, à un moment, la nourrice du personnage principal lui raconte un conte. C'est ce conte qui m'a inspirée pour ce plot.
Donc, si vous écrivez cette histoire je ne pense pas que vous pourrez la publier (dans le sens éditer, pas poster). C'est une sorte de spin-off.
La légende racontée et celle d'une couturière sachant tisser les sentiments. Elle dirige un petit cabinet très réputé, ou de grands clients viennent la commander. Ce n'est pas pour autant qu'elle est riche, au contraire.
Voilà ce qu'il est dit exactement sur son art : « Il était une fois une couturière capable de tisser les sentiments. Elle fabriquait des robes de délice : fines, scintillantes et soyeuses. Elle coupait des pans d'ambition et de ferveur, d'idylle et de diligence. »
Un jour, le Dieu de la Mort, ayant entendu parler d'elle lui demande une chemise tissée de réconfort. La couturière accepte, car elle sait que cette homme et dangereux.
Elle lui coud sa chemise, qui lui va parfaitement. Il paie alors une somme plus que convenable, bien que la couturière n'ai demandé aucun prix.
Pourtant, ce ne lui suffit pas. Il revient commander un manteau de compagnie et elle se sent obligée d'accepter.
Tandis qu'elle est en train de finir le manteau, une vieille femme entre dans l'échoppe pour contempler toutes les choses qu'elle ne peut s'offrir. La couturière lui donne le manteau, elle ne peut s'en empêcher car la vieille femme en a l'air vraiment heureuse.
Alors le Dieu revient, et réclame son manteau. Seulement le deuxième que la couturière est en train de oui confectionner n'est pas terminé, et il se met dans une colère noire.
Il repart chez lui, et la couturière sait qu'il va se venger, seulement elle ne sait pas comment. Elle reste dans a son magasin, torturée par l'idée qu'il revienne...
La couturière à un petit garçon, et le Dieu le sait. Le garçon habite dans un autre ville, avec sa nourrice. Sachant que tuer l'enfant et le meilleur moyen de détruire la mère, le Dieu se rend là-bas et se prépare à l'achever. Mais quand il voit l'enfant, lorsqu'il s'apprête à porter le coup de grâce, il voit quelque chose qui va le bouleverser. L'enfant à un pull tricote avec la plus belle matière du monde : l'amour.
La couturière se rend alors compte que son enfant peut être en danger, elle se prépare donc à le rejoindre, inquiète pour sa vie. Mais quand elle arrive dans l'habitarion que l'enfant partage avec sa nourrice, c'est bien lui qui vient l'accueillir, joyeux et tout sourire. Sur le front, il a une marque sacrée : la marque de protection d'un Dieu.
Reconnaissante envers le Dieu, la couturière se rend à son échoppe ou lui l'attend. La couturière veut le remercier, alors il demande une manteau façonnée par elle-même. Elle l'embrasse, et le Dieu l'emporte avec lui.
Je ne sais pas si vous avez compris la fin, mais en gros la couturière meurt. Néanmoins c'est une fin heureuse car elle est avec celui qu'elle aime.
