La danseuse masquée.

Chapitre 3.

Alors que le prince rentrait de son entraînement avec ses soldats, son bras droit Malik, vint vers lui afin de le prévenir de la nouvelle. Mais malheureusement Assad n'était point d'accord avec la décision de son père. Fêter son anniversaire l'importait peu encore moins avec des gens qu'il ne connaissait et n'avait même pas envie de connaître. C'était toujours la même chose, de la musique, à manger, à boire, des hommes hypocrites et des femmes qui cherchaient à le séduire dans l'espoir de devenir une princesse, quoi de plus ennuyant. Il était peut être issue d'un monde aisée mais ce monde n'était qu'un monde de superficielle. Ce qui était triste bien évidemment.

Il soupira puis s'en alla dans les jardins royal où se trouvait son père entrain de prendre du thé. Assad fronça des sourcils et croisa les bras d'un air sévère.

Assad- Bonjour père, puis je savoir pourquoi vous tenez tant à fêter mon anniversaire ? Questionna t il sêchement

Le sultan- Voyons mon fils, il est tout à fait normal de célébrer ton âge, quel est le problème ?

Assad- Le problème père, est que j'ai passé l'âge de fêté mon anniversaire, cela m'importe peu je ne vais que m'ennuyer et perdre mon temps alors que j'ai une bataille à préparer et des stratégies en monter.

Le sultan- Sa suffit Assad, les préparatifs seront bientôt finit et il te faut d'être présent, qui sait tu trouverai ta perle parmi les prétendantes que je vais te présenter, d'ici ce soir alors cesse de te focaliser sur ton travail, nous vivons en paix pour l'instant ! Gronda t il d'un ton bourru

Assad- Je vous ai pourtant dit que je ne veux pas de femme maintenant, père ! Soupira t il au bord de la colère

Le sultan- Tu ne les a pas encore vue, maintenant assez discuter Assad fait cela au moins pour ton vieux père je t'en pris, ca fera très plaisir à ta défunte mère.

Assad- Essayez vous de me prendre par les sentiments père ?

Le sultan- Cela marche t il ? Dit il d'une voix innocente

Assad- Je ferai un effort si vous insistez mais je ne vous garantie pas ma bonne humeur Grogna t il entre ces dents

Content et satisfait le roi arbora un sourire heureux puis se leva pour venir à la hauteur de son fils. Assad baissa sa tête car son père était assez petit par apport à lui et assez rond, il avait une barbe blanche et un énorme turban sur la tête avec une émeraude au milieu de la coiffe royal.

Le sultan- Merci mon fils, tu sais, c'est très important pour moi puisque j'ai promis à ta mère de prendre soin de toi et te faire plaisir, fêté ton anniversaire est un grand événement à mes yeux alors arrête de geindre, tu passe ton temps préparer et former tes soldats, à faire tes batailles, et protéger le pays, prend un petit moment de plaisir dans ta vie un peu et puis je t'ai préparé une surprise ce soir tu m'en diras des nouvelles hum ? Annonça t il d'un clin d'œil

Assad- Oui père je serai là ne vous inquiétez pas, je dois partir maintenant, j'ai beaucoup à faire, à ce soir Sourit il tendrement à son père

Il tourna des talons puis s'en alla dans ses appartements afin de prendre un bain et se vêtir d'un quamis. Le prince s'effondra sur les poufs du balcon puis observa le soleil bientôt se coucher d'un air pensif.

Son père, était tout ce qu'il lui restait après la mort de sa mère quand elle l'avait accouché. Chose, qu'il avait toujours rendu triste. Sentir la chaleur maternel, être choyé et élevé par elle, pouvoir entendre sa voix, tout ceux ci ne l'avait jamais connue. Alors pour compensé ce vide au cœur, il partait se battre, protéger son pays, diriger une armée, préserver les habitants du danger.