Chapitre 22.

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Assad- Redites le Souffla t il d'un ton plus doux Mon prénom..Redites le

Akila- Assad Répéta t elle timidement rouge de la tête au pied

Il sourit tendrement puis se pencha pour sentir une fois de plus ses lèvres douces. Un instant après, ils se détachèrent à contre cœur puis il sortit précipitamment afin d'éviter d'aller plus loin. Akila toucha ses lèvres d'un air hébété puis se glissa dans ses draps. Assad serra un poings sur son front et l'autre sur sa poitrine. Il tenta de faire taire ses battements mais en vain, il marcha alors d'un pas lourd jusqu'à son bureau afin de trouver son fidèle conseillé entrain de lire des scriptes.

Assad- Malik, mon ami je crois que je vais mourir d'amour Gémit il en tombant lourdement sur son fauteuil

Malik sourit en retirant ses fines lunettes rondes puis posa le tout sur le bureau.

Malik- Alors le grand guerrier du désert éprouve aussi donc de l'amour, c'est étrange. Taquina t il

Assad- Je la veux Malik Gronda il avec force je l'aime et cette fois ci je n'ai aucun doute, je veux qu'elle devient ma femme le plus tôt possible.

Malik- Alors nous allons organisé un grand mariage avec plein de...

Assad- Non Coupa t il Pas de grand mariage, pas d'invités, pas de fête ni de réception, Akila est fragile pour tous ça, il est trop tôt pour elle d'affronter la foule, je veux la préserver alors nous allons opter pour un imam et c'est tout.

Malik- Votre père n'approuvera jamais votre idée mon prince Soupira t il en croisant les bras

Assad- C'est mon mariage et c'est moi qui décide Malik, qu'il approuve ou non ne me fera pas changer d'avis Refusa t il Mon mariage se fera dans trois jours, je veux que vous invitiez le patron du restaurant où elle travaillait au part avant et prépariez nos tenues pour la cérémonie.

Malik- Tout ce que vous souhaitez mais peut elle au moins faire son apparition au balcon pour que le pays sache leur nouvelle princesse ?

Assad- Je l'ignore...Il faut que je réfléchisse ce qu'il sera le mieux pour elle sinon puis-je compter sur vos services l'ami ?

Malik- Évidemment votre altesse, dois je informer le sultan ?

Assad- Bien sur, dire qu'il voulait l'épouser j'ai bien fait de l'en empêcher Soupira t il en portant sa main sur son front

Malik- La beauté de mademoiselle ne passe pas inaperçu votre altesse, elle a même frappé le sultan, il est donc normal qu'il est cette réaction.

Assad- C'est pour cela que je veux la garder à distance du monde, elle fait fureurs dans tout le pays, les hommes se battent pour l'avoir, mais maintenant elle est à moi et moi seul et personne ne s'approchera d'elle Malik j'en fait le serment !

Malik- Et vous avez tout à fait raison mon prince Approuva t il en s'inclinant

Assad se leva puis marcha jusqu'à la porte.

Assad- Vous avez carte blanche Malik, je la veux pour femme dans trois jours.

Malik- Et pas une de plus, ne vous inquiétez pas mon prince.

Satisfait il sourit puis regagna sa chambre d'une grande enjambée. Il entra à l'intérieur tout doucement puis s'approcha du lit, trouvant la jeune femme entrain de dormir profondément les poings fermés. Il s'allongea sur le flanc près d'elle puis se mit à lui caresser la joue tendrement. Qui aurait cru que le grand guerrier serait autant amoureux d'une femme ? Il embrassa tout doucement son front, ses paupières puis son nez. La jeune femme fronça des sourcils puis poussa la tête du prince toujours endormit.

Akila- Assad je veux dormir Supplia t elle tel une enfant qui boude

Le prince pouffa de rire puis se glissa dans ses draps en collant bien son corps contre le sien.

Assad- N'ai-je le droit de vous embrassez ? Questionna t il d'une voix faussement triste

Akila- Cessez de faire l'enfant, si vous n'avez rien à faire dormez ou aller jouer au prince, j'aimerais rattrapé les 23 ans de sommeil que j'ai manqué, si vous ne voyez pas d'inconvénient.

Assad- Alors dormez autant que vous le souhaitez, je veillerai sur vous.

Il sourit puis se mit à parsemer son coup de baiser. Elle était tellement adorable qu'il eut subitement envie de la dévorer. Il n'avait jamais ressenti autant de bonheur depuis la mort de sa mère et c'était agréable comme sensation que lui procurait la belle jeune femme. Il vint de se rendre compte qu'il l'aimait et il n'était pas déçu, finalement la vie lui avait enfin apporté quelque chose bon. Il tira Akila par le bras qui souffla de colère puis la plaqua contre son torse musclé en la serrant très fort contre lui.

Akila- Pouvez vous me lire le coran s'il vous plaît ? Cela m'apaise.

Assad- Tes désires sont des ordres ma douce princesse.

Il ferma les yeux puis chuchota contre sa tête un verset du coran. Peu de temps après ils sombrèrent dans le sommeil, serrés l'un contre l'autre.   

La danseuse masquée.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant