Quelques jours plus tard, le prince avait reprit ses forces et sa forme mais Akila était toujours clouée au lit, elle s'était remise de ses blessures certes mais son mari était strict en exigeant le mieux pour sa femme. Alors depuis, elle était soignée, nourrit et choyée chaque heure de chaque jour. Un moment, elle trouvait cela pénible d'être toujours en convalescence car elle ne pouvait ni danser et ni sortir de sa chambre. Elle avait tenté une fois d'en parler à son mari mais ce dernier ne voulait rien entendre, alors elle ne protestait pas plus et restait calme, supportant ce qui lui arrivait.
Un matin la jeune femme se réveilla tout doucement sous la chaleur du soleil. Elle tourna sa tête vers le côté et vit qu'Assad n'était plus là. Elle soupira, se leva lentement puis tituba vers la salle de bain.
Dès que sa robe se glissa à terre qu'elle plongea dans le grand bassin puis se passa quelques lotions de détente. Elle souffla d'aise en fermant les yeux puis mouilla ses long cheveux. Ses muscles se décontractèrent et elle sentit peu à peu du bien être dans son corps. Cette dernière fixa longuement ses mains, elle les tournèrent, les serrèrent afin de constater enfin qu'elles allaient mieux qu'avant. La princesse resta dans le bain pendant un long moment puis sortit en se mettant une serviette autour du corps.
Elle s'essuya ses cheveux en marchant vers son lit puis s'arrêta net en passant devant le miroir. Elle cessa son action puis fit tomba sa serviette de cheveux par terre. La femme qu'elle vit devant elle, était méconnaissable et se demandait comment son mari arrivait à la regarder en face. Elle toucha ses lèvres puis son cou et revint sur ses joues. Elle recula légèrement et là, sa serviette de corps tomba par terre dévoilant son corps plein de bleu et d'ecchymose. Son visage de crispa de colère et de tristesse.
Akila- Maudit sois tu Djellal... Murmura t elle d'une voix inaudible
...- Akila ?
Le voix rauque de son mari extirpa Akila de ses profonds pensées puis vit par le miroir Assad s'approchait lentement d'elle, tel un lion vers sa proie. Elle reporta son regard vers son corps nue, silencieuse, impassible. Ce dernier soupira, se pencha pour ramasser la serviette par terre puis l'enroula autour de sa femme en posant ses lèvres sur ces épaules.
Assad- A mes yeux, avec ou son blessure, tu as un corps magnifique, n'aie pas honte Akila...mon désire à ton égare restera inchangé et ne cessera de s'accroître Chuchota t il sensuellement
Akila- C'est handicapant pour...
Assad- Non mon amour, sa partira et bientôt tu pourras te rhabiller comme avant et tu danseras autant que tu souhaiteras ne t'inquiète pas Interrompit il d'une voix très douce
Akila- Si Allah le veut Soupira t elle
Assad- J'ai confiance en lui ne t'inquiète pas...tu sens très bon dit moi...
Akila- Oui je viens de prendre un bain mais par contre toi...
Il se recula d'un air interrogateur tandis qu'elle remettait sa serviette. Assad était torse nue, les cheveux décoiffés, le corps bronzé et musclé perlant de sueur et les vêtements très sale et déchirés. Elle afficha un air colérique puis croisa ses bras sous sa poitrine.
Akila- Mais dit moi maintenant que je m'en souviens, tu n'as pas repris ta place au commandement ? Interrogea t elle d'une voix plein de reproche
Assad- Je t'assure chérie, je les entraînes c'est tout, c'est pour ne pas perdre la main tu comprends Rit il en se grattant l'arrière crâne d'un air gêné
Akila- Entraîner c'est tout ? Qui me dit que tu ne vas pas recommencer ?
Assad- Ne t'ai je pas fait une promesse Akila ? C'est simplement un entraînement ne t'inquiète donc pas, rien de dangereux Se défendit il plus sérieusement
La jeune femme soupira puis tira son mari par son poignet.
Assad- Où allons nous ?
Akila- Te laver, ton état m'insupporte.
Dès qu'ils rentrèrent dans la salle de bain, Akila lâcha la poignée de son mari pour aller chercher du savon et un peigne.
Akila- Déshabille toi et rentre dans le bain.
Ce dernier sourit perversement puis se glissa dans l'eau après s'être déshabiller d'un geste sec. Son entre jambe se mit à durcir dans l'eau rien qu'en pensant à sa femme entrain de le laver. Il se mit dos contre le bassin d'eau puis posa ses bras imposant tout le long sur le sol en marbre. Akila se mit derrière lui, mouilla ces cheveux puis les savonna en malaxant bien la tête d'Assad. Ce dernier soupira d'aise puis ferma les yeux profitant de l'instant.
Akila- Tu as les cheveux doux Murmura t elle en prenant une des mèches
Elle les peigna doucement puis passa de l'eau sur la tête d'Assad. Après s'être occupée de ces cheveux, elle attaqua le corps d'Assad. Cette dernière plongea avec sa serviette dans l'eau au côté de son mari, le regard intense rivé l'un sur l'autre.
Akila- Tourne toi Ordonna t elle sèchement
Tel un automate, il se tourna contre le rebord du bassin puis se laissa frotter le dos par sa femme. Petit à petit les muscles du mari se durcirent autant que sa libido sous les caresses d'Akila. La brune frottait lentement d'un air neutre et concentré, sans toucher la longue cicatrice d'Assad. Elle lava son bras gauche puis son bras droit avant de se lancer sur son torse musclé. Assad fixait sa femme d'un air très intense, il la détailla dans la moindre parcelle tout le long du bain. Elle avait les yeux rivés vers ses pectoraux gonflés, ces joues étaient rosies et sa poitrine compressée et généreuse qui débordait sur la serviette. Il n'avait qu'une seul envie, arracher ce bout de tissu et la prendre dans ce bain même. Akila sentit tout de suite l'excitation ardente d'Assad et elle pouvait comprendre cela. Car cela faisait bien longtemps qu'Assad se retenait de faire l'amour à sa femme de peur de lui faire mal, mais au jour d'aujourd'hui Akila se sentait très en forme pour faire plaisir à son mari, elle n'avait presque plus mal au main, ni au ventre, ni ailleurs, elle se sentait donc capable, sans peur, sans gène, de se lier par le corps avec Assad mais est ce que ce dernier était du même avis ?
Akila- Puis je savoir de quoi as tu peur Assad ?
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La danseuse masquée.
RomanceDes yeux bleu océan, un charme envoûtant, un corps captivant...Voilà ce qu'Assad El Kazar prince d'Arabie Saoudite voyait face à lui. Ce dernier frissonna sous le regard impassible et hypnotique de la jeune femme. Troublé, le prince tenta par tout l...