Chapitre 34.

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Le lendemain, en fin après midi, Akila se trouvait dans la serre assise tranquillement sur l'un des bancs tout en savourant les chants d'oiseaux. Ce matin elle reçut un réveil des plus agréables. Assad se sentait comme sur un nuage, il ne voulait en aucun cas sortir du lit et partir travailler. Il voulait à tout prix rester au bras d'Akila et ne pas la quitter de la journée mais il était obligé de la laisser pour s'occuper de la reconstruction de la plupart des villages détruit par Jabbar, le roi des rebelles.

Du côté d'Akila, elle ne s'est jamais senti aussi épanouie de sa vie entière. Elle se rendit compte qu'elle touchait enfin à son rêve qui était d'avoir une vie sereine et un mariage d'amour et à présent elle en remercia Dieu chaque instant de lui avoir donner une seconde chance pour vivre.

Elle sourit de toute ses dents en se mordillant la lèvre inférieur puis leva son bras pour accueillir son aigle Shiva. Elle n'avait peut être pas réussit de lui dire « je t'aime » mais au moins il avait enfin compris ce qu'elle éprouvait au plus profond d'elle, un amour incommensurable. Ainsi les sentiments d'amour passionnel sont enfin partagés.

...- Akila ?

La voix d'Assad fit sortir soudainement Akila de ses pensées. Il s'avança vers elle, arborant son plus beau regard perçant puis s'assit à ces côtés, la dominant de tout son corps.

Akila- Comment se portent les habitants S'enquit elle en déposant Shiva sur une branche

Assad- Un peu mieux Al hamdoulillah, les villageois gardent un optimisme qui me terrifie, la plus part des habitations sont complètement démolis et malgré cela ils gardent tous la tête haute... Expliqua d'une voix triste

Akila- C'est simplement qu'ils ont confiance en toi car tu es un prince généreux et brave et que tu pourras les aidés à s'en sortir et leur reconstruire une vie meilleur Rassura t elle d'un demi sourire angélique

Il lui sourit tendrement puis la prit dans ses bras en embrassant le sommet de son crâne.

Assad- Tu as raison habibti, j'en ai profité aussi pour renommé l'un de mes plus fidèles et compétent guerrier Aziz Baffare à la tête de l'armée, dorénavant je suis simplement un prince et ton mari, je gère seulement les plans d'attaques et la sécurité du palais Annonça t d'un toux calme

Le visage d'Akila s'illumina puis sourit de toute ses dents. Heureuse et ravie de la nouvelle, elle sauta sur son mari en le faisant tomber lourdement par terre puis l'embrassa fougueusement. Ce dernier émit un léger gémissement de douleur puis accueillit ses baisers avec grand plaisir. Akila s'assit à califourchon sur Assad tandis qu'il empoignait ses fesses d'un geste possessif. La jeune princesse sursauta aux caresses brûlant de son mari mais ne protesta pas pour autant. Ce n'était qu'au moment où il commençait par enlever le haut de sa femme qu'elle bloqua sèchement ces grands bras.

Akila- Assad pas ici voyons ! S'écria t elle rouge d'embarras

Assad- C'est vrai nous allons alors continuer dans notre chambre Dit il d'un sourire charmeur

Assad la saisit par les hanches puis se releva en la tenant toujours dans ses bras. Ce dernier monta les escaliers puis sortit dans les couloirs afin d'aller dans leur chambre sous les regards interrogateurs des passants. A peine ils rentrèrent dans la pièce qu'Assad plaqua instantanément sa femme sur le matelas du lit. Le prince s'allongea sur sa belle sans pour autant y mettre tout son poids puis caressa l'une de ses joues en embrassant son coup.

Assad- Il faut que tu saches que mon dos est en lambeaux à cause de toi petite tigresse, j'en porte encore les traces Murmura t il d'une voix rauque

Akila- Oow, pauvre petit garçon ! Plaisanta t elle d'une voix mielleuse et presque dans les vapes

Il fit un demi sourire puis descendit petit à petit vers le ventre d'Akila afin de l'embrasser sensuellement. Emportée par le désir, celle ci ne résista pas plus longtemps aux mains expertes de son mari. Il remonta lentement sa robe puis ouvrit doucement les cuisses de la jeune femme. Akila empoigna les cheveux d'Assad et poussa un gémissement dans lequel se mêlait plaisir et gêne quand la bouche du prince commença par embrasser et jouer avec son intimité. Elle fut d'abord embrassée par la situation en rougissant et écarquillant des yeux d'un air stupéfaite, puis un instant après, elle devint trop affamée pour laisser sa pudeur lui dicter sa conduite.

Akila- Assad ! Cria t elle au bord de la jouissance

Elle vibrait de tout son être, elle hurlait de tout son âme. Assad savoura un instant son cri de plaisir avant de se retirer pour la contempler intensément d'un air ravageur.

Akila- Ce n'est pas juste...tu m'as prise au dépourvue...je me vengerai...Jura t elle d'un ton haché

Le prince n'eut même pas le temps de rétorquer qu'il se trouva allongé contre le matelas avec Akila assise au dessus de lui. Surpris par autant de rapidité et de finesse, ce dernier scruta sa femme d'un regard interrogateur. Elle sourit d'un air défiant puis plaqua les bras de son mari sur chaque côté de son visage. Sa raison s'éteignit en un claquement de doigt pour laisser place à son instinct qui l'encourageait d'aller plus loin, la jeune femme ferma les yeux puis se mit à embrasser le coup veineux de son mari. Ce dernier caressa lentement le dos de sa femme quand tout à coup il lâcha un grognement quand elle lui mordit le creux de son coup.

Assad- J'ignorai qu'il y avait une chatte sauvage qui sommeillait en toi Murmura t il d'une voix rauque

Elle ignora son commentaire puis déboutonna lentement la chemise de son mari. Elle sentait une envie irrépressible, et ignorait d'où cela venait mais une chose était sûr, était qu'elle ne pouvait maîtriser sa soif de le sentir, une fois de plus, en elle. La premier fois, ce fut terrifiant à ses yeux mais Assad était tellement prévenant, doux et bienveillant qu'elle n'avait plus peur de quoi que se soit. Depuis, elle sentait une vague sensation inconnu s'éveiller en elle et chaque fois qu'elle croisait ne serait que son regard, un désir sans nom montait en elle.

Elle finit par jeter sa chemise à terre puis s'attaqua à son torse en embrassant chacune de ses cicatrises. Le prince la contempla attentivement d'un air étourdi, il eut l'impression d'être assommé par une grosse massue, son esprit s'échappa de son corps et son cerveau s'arrêta de fonctionner.

Cependant, Akila jouait avec lui comme il l'avait fait auparavant. Cette dernière se releva instantanément, retira son haut d'un geste sec en faisant apparaître sa poitrine rebondissante puis continua à l'embrasser en baissant son pantalon. Cette fois ci, il ne pouvait la laisser continuer sa douce torture. Il reprit donc sa position initial, arracha sa longue jupe de la danse oriental puis se plaça entre elle légèrement saisit par les sensations. Il la saisit par les hanches puis l'embrassa fougueusement avant de plonger en elle alors qu'elle lui enserrait la taille de ses jambes gracieuse. Quand elle hurlait son prénom d'une voix rauque, Assad comprit qu'il ne pouvait se retenir davantage. Décidément cette femme l'avait complètement ensorcelé, elle pouvait faire de lui tout ce qu'elle voulait, elle était maître de son cœur, de son âme et de son corps. Akila l'encouragea à doubler la cadence puis il s'enfonça de plus en plus profondément en elle pour la rejoindre dans la jouissance. Il s'effondra sur elle, le visage enfoui dans le cou de la jeune femme tentant de recouvrer ses esprits.

Il restèrent un long moment dans la même position, tous les deux silencieux, tous les deux secoués par la situation.

Akila- Tu es lourd Dit elle encore essoufflée

Assad sourit dans son cou puis se dégagea de sa femme en la prenant dans ses bras. Il embrassa le sommet de son crâne puis ferma les yeux afin de sombrait dans le sommeil. 

La danseuse masquée.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant