J'ouvre les yeux à cause des gens qui crient donc je mets mes chaussures et sors à l'extérieur. Il fait encore nuit et une capsule entre dans l'atmosphère et se pose.
Putain on est sauvé !!
Octavia: Faut se bouger vous êtes prêt ?
Bellamy: Personne ne va nul par, pas tant qu'il fait nuit. C'est trop risqué.
Moi: Mais attends, il faut y aller maintenant. Imagine que les natifs y arrivent avant nous.
Bellamy: On ira demain à l'aube, faites passé la consigne. les gars qui était avec nous partent.
Octavia: Mais ce truc était visible dans un rayon de 100 kilomètres. C'est maintenant qu'il faut y aller comme Nyah l'a dit !
Bellamy: Je vous l'ai dit, on attend le lever du soleil. Bellamy et Octavia sortent de la tente.
Moi: Certainement pas ! à moi même.
Je retourne dans ma tente et attrape deux couteaux dont un que je glisse dans ma chaussure et l'autre dans ma manche. Je sort ensuite et prends une arme un peu plus grosse que j'attache à ma ceinture. Sans me faire repérer je sors du camp.
Monty: Tu vas où comme ça ?!
J'ai peut-être parlé trop vite...
Moi: Je... euh... Je vais me balader.
Monty: Armée jusqu'aux dents ?
Moi: On est jamais trop prudent.
Monty: T'as intérêt de revenir vite ! Et je sais où tu vas, pour ton info...
Moi: Merci, on se voit plus tard.
Je lui sourit puis m'engouffre dans la forêt seule. Faites que je ne croise aucune galère, s'il vous plaît...
Ça fait maintenant longtemps que je marche et je ne trouve pas la capsule. Jusqu'à ce que je trouve Bellamy, mais qu'est-ce qu'il fout ici ?!
Moi: Eh !!
Bellamy: Qu'est-ce que tu fous ici ?!
Moi: Toi qu'est-ce que tu fous ici ?!
Bellamy: Je... je vais à la capsule.
Moi: Je croyais qu'il fallait attendre le lever du jour ? en croisant mes bras contre ma poitrine.
Bellamy: Ok t'as gagné. On se sépare pour couvrir plus de terrain ?
Moi: Ouais tu passes par là bas et on se retrouve en bas.
Bellamy: Ok.
[Quelques minutes plus tard]
J'arrive à la capsule et l'ouvre. Je découvre une fille un peu métissée et brune.
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𝐉𝐔𝐒𝐍𝐀𝐓𝐒𝐊𝐀𝐈 ; the 100
Fanfictionbien évidemment que les choses auraient pu être différentes mais vous savez, nous n'étions que de pauvres adolescents à qui on avait donné un cadeau empoisonné. la Terre n'était pas notre seconde chance, elle était devenue notre prison. COMMENCÉ LE...