𝐉𝐔𝐒𝐍𝐀𝐓𝐒𝐊𝐀𝐈 ; the 100

54//Elle souffre

Je suis seule, dehors, certaines personnes ont des sacs et sont armées. Je vois Clarke et Bellamy parler avec Miller, qui lui aussi a un sac. Je m'approche d'eux et tombe en pleine conversation.

Clarke: Ils vont dans la grande vallée. elle commence à partir mais Miller la rattrape.

Miller: C'est plus toi qui décide maintenant.

Clarke: Je suppose qu'elle va envoyer l'armée et que vous êtes les éclaireurs. Vous prenez quelle route ?

Miller: Ça te regarde pas.

Je décide de m'en mêler.

Moi: Ouais bah sache qu'en cette saison, y'a plein de tempête de sable et Clarke et moi connaissons la trajectoire du vent par cœur, on a fait le voyage des dizaines de fois.

Clarke: Miller, tu peux la croire, vous aurez besoin de nous deux.

Il souffle puis accepte. Nous le suivons jusqu'à Octavia qui est avec... ses conseillers ? Je ne sais pas mais ce que je sais c'est qu'elle est en train d'évaluer un plan d'attaque.

...: Miller, tu avais pour ordre de-

Miller: Merci je sais mais avant on devrait les écouter. en parlant de Clarke et moi.

Clarke: Passer par la mer c'est pas un bon plan.

Indra: Pourquoi ? Tu disais qu'elle était asséchée, c'est possible ou pas ?

Moi: Oui enfin peut-être mais il faut que vous sachiez que-

Octavia: Peut-être ça ne suffit pas ! Allez on y va. en partant. Bellamy se place devant elle.

Bellamy: Octavia attends- les gardes pointent leurs armes sur lui.

Octavia: Baissez vos armes. ils s'exécutent.

Bellamy: S'il te plaît Octavia, écoute ce qu'elles ont à dire.

Clarke: Je t'assure qu'on est tous du même côté et on est, avec Nyah, sans doute celles qui veulent le plus retourner dans la vallée, c'est chez nous là bas mais la mer c'est beaucoup trop risqué.

Indra: Pourquoi trop risqué ? j'aperçois une carte et m'approche.

Moi: Vous avez choisi la route la plus coute ce qui est logique mais ici, en montrant la carte. il y a souvent des tempêtes de sable.

Octavia: On a les tentes du bunker, le sable ne sera pas un problème.

Moi: Il n'y a pas que du sable. Une partie s'est cristallisé avec le primfaya, c'est comme si c'était des éclats de verres aussi tranchant que des lames de rasoirs. La tente ne vous protégera pas.

...: Moi je suis d'accord avec Blodreina, on ne peut emporter que des rations de survie pour sept jours. Par la mer il n'en faut que six, le deuxième chemin le plus court ajoute 80 kilomètres, au moins deux jours de marche de plus.

Indra: Et puis... qui vous dit qu'il n'y aura pas de tempête de sable sur les autres chemins ?

Octavia: Ça suffit. On fait ce qu'on a dit, les serres hydroponique ne nous nourrissent plus suffisamment et s'il n'y a qu'une vallée fertile sur Terre, c'est nous qui la prendrons.