35//Piègés

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Bellamy: Allez, vite on se dépêche !

Nous sommes dans les tunnels et on arrive à destination. Nous sommes juste en face de la grande place à Polis.

Bellamy: Il faut ouvrir ces grilles. on charge nos armes. On se prépare.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas touché à une arme à feu.

Bryan: Tu crois qu'un jour on n'aura plus à se battre ? à son copain.

Miller: Évidemment, on construira une maison près d'un lac, toi, tu planteras ton maïs.

Bryan: J'élèverai des poules.

Miller: Ouais, on vieillira ensemble.

Je tourne mon regard vers Octavia, je sais qu'elle rêvait de faire ça avec Lincoln mais la vie est parfois beaucoup trop injuste.

Je regarde dans le viseur de mon fusil.

Moi: Ils sont là, à onze heures !

Bellamy: Roan nous fera signe quand il verra Ontarie. On attend qu'elle soit juste à côté d'eux et on balance le gaz du Mont Weather.

Bryan: Ils devront retenir leur respiration. Faudra aller vite.

On commence à retirer la grille.

Moi: Si quelqu'un se met en travers de notre chemin, on le tue pas. Ce ne sont pas nos ennemis, ils sont sous le contrôle d'Alie, ok ?

Octavia: Ok.

Miller: Ok.

Nous attendons patiemment le signe de Roan. Roan montre la flamme en parlant mais nous sommes trop loin pour l'entendre. Des dizaines de natifs se mettent autour d'eux et Jaha arrive.

Bellamy: C'est Jaha.

Octavia: Qu'est-ce qu'il fout là lui ?

Miller: Vous voyez Ontarie ?

Moi: Non.

Bellamy: On attend le signal. je regarde dans le viseur mais quelques choses ne va pas. Ça ce passe pas comme prévu. Roan place son couteau sous la gorge de Clarke. Allez-y balancez le gaz !

...: À genoux ! Lâchez vos armes !

On vient de se faire attraper. Ils nous font nous retourner et nous attachent.

Nous sommes dans une espèce de couloir et ils nous frappent parce qu'on ne veut pas avaler cette putain de clé.

...: On monte, elle veut Bellamy. ils le relèvent et l'emmènent.

Octavia: Eh ! Où est ce que vous l'emmenez ?

Un garde lui frappe le dos.

Bellamy: Laissez la ! Octavia regardes moi, tout ira bien, ça va aller. elle se remet à genoux.

Ils commencent à l'embarquer mais une voix bien trop familière se fait entendre.

...: Si j'étais toi, je me coucherai sur le sol.

...: Murphy ?

Moi: Mettez vous à terre !! ils m'écoutent et les gardes tombent au sol après avoir été tué par des balles.

𝐉𝐔𝐒𝐍𝐀𝐓𝐒𝐊𝐀𝐈 ; the 100Où les histoires vivent. Découvrez maintenant