𝐉𝐔𝐒𝐍𝐀𝐓𝐒𝐊𝐀𝐈 ; the 100

45//Continuer à se battre

[Point de vue de Nyah Kellen]

À mon réveil ils m'ont tout expliqué. Emori et Murphy, Clarke qui devient une sang d'ébène et Abby qui détruit la machine.

Kane a appelé, ils ont trouvé un bunker près à accueillir des gens.

Nous avons laissé Murphy, Raven et Emori au labo de Becca, on reviendra les chercher avant le Pramfaya. Ils m'ont déposé à Arkadia avant d'aller à Polis.

J'entre dans le campement et quand j'arrive dans la station, Jaha finit d'annoncer la bonne nouvelle, on est sauvé.

Je vois Bellamy au loin avec Monty. Je passe à travers la foule. Je prends dans mes bras Bellamy et lui embrasse la joue. Il ressert ses bras autour de moi.

Bellamy: Je croyais que tu allais à Polis ?

Moi: Oui mais je voulais pas attendre encore un jour de plus donc les autres m'ont déposé à quelques heures de marche et je suis revenue vous aider à préparer.

Je me retourne vers Monty.

Monty: Content de te revoir ! il lui sourit et le prends dans mes bras.

Bellamy: Viens il faut qu'on prépare nos affaires.

[Quelques heures plus tard]

Personnellement je n'ai pas grand chose à prendre. J'enfile ma cape et range mes épées et mes couteaux. Bellamy prend notre sac avec à l'intérieur une tente au cas où la pluie radioactive nous tombe dessus.

Moi: Tu vas mieux depuis la dernière fois ?

Bellamy: T'avais raison, je pouvais rien faire. je m'assois à côté de lui sur le lit. Pourquoi t'as coupé la radio ?

Moi: Ah... Hum... on a eu un problème.

Bellamy: Du genre ?

Moi: Un homme s'est introduit dans la maison et il a attaqué Emori.

Bellamy: Quoi ? Vous en avez fait quoi ?

Moi: On... on l'a testé. il fronce les sourcils. On pensait que si vous étiez des sangs d'ébène, vous pourriez survivre donc Abby m'a pris de la moelle pour le transfuser. Une fois qu'il était près on l'a mis dans la machine et... il pose sa main sur la mienne. Il n'y pas survécu et il est mort dans d'atroce souffrance. il ne répond pas tout de suite.

Bellamy: C'était pas ta faute.

Moi: C'était mon sang.

Bellamy: Écoute moi, il pose une main sur mon menton pour que je le garde. Tu n'es pas responsable de sa mort, de toute façon il serait quand même mort de cette manière.

Moi: Est-ce que tu essayais de me remonter le moral ?

Bellamy: Bin ouais.

Moi: T'es pas fait pour ça. il lève les yeux au ciel. Il faut qu'on y aille. je me lève et m'apprête à franchir le pas de la porte mais Bellamy m'attrape le bras. Qu'est-ce qu'il y a ?

Bellamy: Viens là. j'hoche la tête et il me prend dans ses bras.

Moi: Merci... en déposant mes lèvres dans son cou.