■ Lᴏsᴛ □ Sᴜᴋᴏᴏᴋ |Terminé|

19-Aᴘᴏᴄᴀʟʏᴘsᴇ

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Je part m'assoir à l'extrémité de la passerelle laissant mes jambes pendre dans le vide, sans vie. Je me met à regarder cet horizon invraisemblable. Des fumées noirâtres et d'autres blanchâtres mêlant du gris faisant partis intégrantes du décor, semblant incapables de diminuer en intensités ou de disparaître et ne semblant pas être une nouveautés ici.

Personne n'es affolé, personne ne se rue pour alertés les autorités compétentes afin d'aller voir de quoi il s'agit et si cela est dangereux ou non.

Certes, ces fumées paraissent lointaines mais elles doivent correspondre à des incendies ou des gazs ? Personnes ne pense qu'elles peuvent se rendre jusqu'ici en se propageant ? Pour les annihilés ou porter atteintes à leurs vies ?

Aucune habitation occupe les environs, c'est comme si cette partie du monde n'avait jamais été peuplé. Je baisse mon regard pour observer le sol aride, asséché où des crevasses sont creusés et des trous parsement le sol. Les plantes disparues et seuls des trons fins persistent à rester debout. Je remonte rapidement mon regard vers le ciel remplis dans une obscurité pesante avec toujours des nuages sombres semblant être dans une nuit constante.

Le soleil est-il dissimulé derrière ces nuages gris ?

Ou avait-il laisser les nuages le bouffer ?

Ils sont si épais et densent, il semble avoir disparues depuis plusieurs lunes déjà et incapable de revenir.

N'a t-il donc pas le courage de revenir ?

Je sens un courant d'air s'essouffler à mes côtés, puis je distingue une silhouette du coin de l'œil, je ne veut pas le regarder. Cela ne peut-être qu'une personne, après tout, je suis une menace désormais, qui mérite d'être enfermé et mise à mort au moindre regard de travers.

Comment ai-je fait pour en arriver là ?

Un souffle las m'échappe.

- J'aimerais bien vivre ailleurs, mon voisin marque une pause avant de continuer, loin d'ici.

Je me met à le regarder, son visage observant également le ciel comme moi avant que je ne le dévisage.

- Tu à déjà une maison à Séoul, non ?

- Pas vraiment, souffle t-il en passant une main dans ses cheveux.

- Un appartement ? lui demandais-je en arquant un sourcil.

- Non plus.

Je détourne le regard, ne le comprennant pas et arrête les questions voyant mon vis-à-vis perdu. Même si je ne comprend pas pourquoi il me parle de ça, précisément, je comprend qu'il cherche à me parler et cherche alors moi aussi à lui dire quelque chose.

- J'aimerais rentrer chez moi, déclarais-je alors en détaillant maintenant le ciel à mon tour.

Je vois son regrad félin m'observer.

- Tu aime bien ta maison ? me dit-il d'un ton calme m'apaisant peu à peu.

- Je n'ai connu qu'elle, alors, oui et puis j'ai eu de bon souvenir dedans même si ils remontes à un moment désormais.

Yoongi ne répond pas et laisse un silence apaisant s'installer entre nous.

- Quand j'étais petit, je jouais avec un chat qui vivait dans la rue. Il était tout noir et avait des yeux verts perçants qui terrifiait tout ceux croisant son regard, tout le monde le voyait d'un mauvais œil car ces chats portent malheurs de par leurs couleurs. J'ai toujours voulu le garder avec moi mais je ne pouvait pas le laisser chez moi. Alors, dés que je le pouvais, je le caressait, jouait avec lui et le nourrissait.