Hey, voici une petite musique que je préconise d'écouter pour lire ce chapitre :
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Petit, j'avais déjà songé à ma façon de mourir. Je me suis toujours fiché de l'âge auquel je pouvais partir et même si cette façon était brutal, remplis de douleur et longue.Tout ce que je voulais finalement, c'était disparaître comme si jamais je n'avais exister.
Disparaître, revenais à rejoindre tout ceux que j'avais perdu mais également, tout ceux que j'allais perdre. Car à l'instant même où je n'avais pas trouver le battement de cœur de ma sœur, j'avais su.
J'avais su que cela n'était que le début de mon cauchemar, celui qui commençais lorsque nos yeux s'ouvraient.
Que cette sensation horrible, ce manque, cette incapacité, cette faiblesse ridicule, était la même que celle que j'avais ressentis lorsque nous avions laissés mon père.
J'avais réalisé qu'il devait avoir subit à la pression des débrits peu après notre départ, seul notre présence l'a garder encore quelques petits instants parmis nous.
J'avais ressentis exactement la même peur, c'était ma phobie, je pourrais m'arracher mes propres organes à mains nus pour éviter cela.La mort m'a traumatisée.
Depuis le temps, c'était même la première fois que j'y pensais en pointant le mot exacte.
La mort.
Un frisson me parcourut entièrement et longuement l'épiderme, alors que je fixais les chiffres de l'ascenseur défiler à une vitesse affligeante devant moi.
Elle avait beau toucher tout le monde, à n'importe quelle époque, de toute les manières, depuis la nuit des temps, je l'a redoutais comme mon pire ennemi, j'avais peur de tout ce qu'elle pouvait faire subir à la la vie elle-même et entière.
Mais moi, je n'avais pas peur du chemin tout tracé qu'elle m'avais destiner. Je l'avais chercher, quémander et désormais je l'attendais, de pied ferme.
C'était mon but ultime, oui, mon rêve.C'était de courir pour l'éternité avec toi dans notre jardin.
Et après toutes ces années, ce manque de courage, peut-être même d'envie, j'avais réussi à l'éffleurer, je l'avais même tâter mais au moment même où ma langue allait goûter ce nectar ultime Yoongi m'avais sauver.
J'étais comme qui dirais "frustré".
Après tout ce temps, j'y étais enfin parvenu, j'avais eu mal, horriblement mal, quand bien même tout ceci était confiné dans la Simualtion, la douleur était désormais ancrer au plus profond de mes veines, celles que j'avais écartelés de force. À chaque fois que je les observais, durant mes moments de rêveries, un coups d'électricité me parcourait indéniablement.
Bon dieu, ce que j'avais souffert.
Et à cet exact moment, tu t'était refuser à moi. Je n'avais pas compris, j'en avais même voulu à Yoongi indirectement en revenant à moi à Abraxa. Mais malgré toute cette haine me rongeant, toute cette frustration, je respectais beaucoup trop Yoongi pour lui dire quoi que ce soit, j'étais si rassuré de le revoir et ça avait suffit à me faire tout oublier.
C'était fou l'effet qu'il me faisait durant les moments les plus critiques en y réfléchissant bien.
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■ Lᴏsᴛ □ Sᴜᴋᴏᴏᴋ |Terminé|
عشوائيJᴜɴɢᴋᴏᴏᴋ ᴇsᴛ ᴜɴ ᴊᴇᴜɴᴇ ʜᴏᴍᴍᴇ ᴘᴇʀᴅᴜs ᴅᴀɴs sᴇs ᴛʀᴀᴜᴍᴀᴛɪsᴍᴇs ϙᴜɪ ʟ'ᴇɴғᴇʀᴍᴇɴᴛ ᴅᴀɴs ᴜɴᴇ ᴄᴀɢᴇ ᴠɪᴛʀᴇ́ᴇ ᴘᴀssɪғ ᴀ̀ ᴄᴏɴᴛᴇᴍᴘʟᴇʀ ʟᴇ ᴍᴏɴᴅᴇ. Iʟ ᴇsᴛ ᴄᴏɴᴠᴀɪɴᴄᴜ ϙᴜᴇ sᴏɴ ᴄᴀs ᴇsᴛ ᴅᴇ́sᴇsᴘᴇ́ʀᴇ́ ᴊᴜsϙᴜ'ᴀ̀ ʀᴇɴᴄᴏɴᴛʀᴇʀ Yᴏᴏɴɢɪ ϙᴜ'ɪʟ ʟᴜɪ ᴘʀᴏᴍɪs ʟᴇ ᴄᴏɴᴛʀᴀɪʀᴇ, ʟᴜɪ ᴘʀᴏᴜᴠᴀɴᴛ ϙᴜ'ɪʟ...