J'ai ajouter un bon 2000 mots au chapitre précédent, n'hésite pas à refaire un tour pour ne pas louper du contenus qui est pour le coup pas mal important.
Aller, bonne lecture !
Bip. Bip. Bip. Bip. Bip. Bip...
Mes yeux fixent le compteur en boucle déterminant les battements de coeur de mon ami de toujours.
La chambre est froide, les rideaux sont tirés et je ne veut pas les ouvrir pour laisser la sombre lumière pénétrer sa chambre. Il n'y aucun bruit, je n'entend plus mon cœur battre et encore moins ma respiration s'échapper, seul le clignotement de la machine respiratoire suffoque en boucle.
Taehyung, les paupières blanches fermés, un bandage proéminent et imposant au niveau de l'abdomen, un de multiples autres au niveau de son épaule droite, de sa cuisse gauche, et ses mains entières son enferme dans cet amas de tissus.
Son corps ne bouge pas, si ce n'est son poitrail mou, trop lent, dans le but de faire encore survivre son organisme. Ses mains semblent vidées de toute sortes d'énergies, les paumes bandés vers le ciel quémandant de vouloir continuer le combat.
Ses cheveux bruns foncés perdent de leurs mèches vertes un peu plus au fil de jours comme si leur réceptacle de vie se consumait peu à peu également. Il ne s'est toujours pas réveillé depuis trois jours et 16 heures et 8 minutes.Je n'ai pas quitter sa chambre depuis son arrivée.
Le dos vouté, les coudes sur les genoux près de l'une de ses mains pendante vers le sol à l'opposé de sa jumelle, je me tâte à l'attraper pour le lever et que nous allions jouer ensemble dans sa chambres, des heures durant.
Jin passe tous les jours pour vérifier ses constantes et y voir une quelconque améliorations un quelconque changement ou même voir si son corps change de positions pour être plus à laisse ainsi.
Mais rien.
Il me fixe après avoir fini ses machinales réflexes et obligatoires de médecin, en me souriant d'un air aussi triste que compatissant.
Taehyung est aussi son ami après tout.
- 'Kook.
Je laisse échapper un soufflemenet du nez alors que Seok Jin comprend qu'il détient mon attention, du moins se sera la seule réponse explicite pour l'instant. Il se laisse tenter par quelque pas, se rapprochant de moi pour plonger au passage ses mains dans ses poches vides et souples de sa longue blouse blanche et froide.
- Va te reposer, tu en a besoin aussi. Je doute que tu dort bien ainsi sur cette chaise.
Mes yeux ne bougent pas du compteur et je laisse sa main frotter le tissu de mon épaule dans une caresse se voulant compatissante et surtout entraînante vis-à-vis de son conseil. Mais tout ce que je sens, ce sont des vas et viens raclant mon vêtement dans des mouvement dérangeant, presque oppressant.
Ce que ça fait du bien d'être redevenu vide.
J'entends ses dents grincer dû à mon manque d'attention avant que sa main ne glisse de mon corps à contre-coeur lassé de mon voir muet. Il semble m'observer encore quelques secondes avant que sa montre ne le rappelle à l'ordre. Tout le monde vit. Tout le monde bouge. Et je reste là, toujours à attendre.
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■ Lᴏsᴛ □ Sᴜᴋᴏᴏᴋ |Terminé|
AcakJᴜɴɢᴋᴏᴏᴋ ᴇsᴛ ᴜɴ ᴊᴇᴜɴᴇ ʜᴏᴍᴍᴇ ᴘᴇʀᴅᴜs ᴅᴀɴs sᴇs ᴛʀᴀᴜᴍᴀᴛɪsᴍᴇs ϙᴜɪ ʟ'ᴇɴғᴇʀᴍᴇɴᴛ ᴅᴀɴs ᴜɴᴇ ᴄᴀɢᴇ ᴠɪᴛʀᴇ́ᴇ ᴘᴀssɪғ ᴀ̀ ᴄᴏɴᴛᴇᴍᴘʟᴇʀ ʟᴇ ᴍᴏɴᴅᴇ. Iʟ ᴇsᴛ ᴄᴏɴᴠᴀɪɴᴄᴜ ϙᴜᴇ sᴏɴ ᴄᴀs ᴇsᴛ ᴅᴇ́sᴇsᴘᴇ́ʀᴇ́ ᴊᴜsϙᴜ'ᴀ̀ ʀᴇɴᴄᴏɴᴛʀᴇʀ Yᴏᴏɴɢɪ ϙᴜ'ɪʟ ʟᴜɪ ᴘʀᴏᴍɪs ʟᴇ ᴄᴏɴᴛʀᴀɪʀᴇ, ʟᴜɪ ᴘʀᴏᴜᴠᴀɴᴛ ϙᴜ'ɪʟ...