it is love colin and co (terminé)

Chapitre 18 Une Rousse En Détresse

J'ai dormi presque 4 heures cette nuit, et c'est Lisa qui m'a réveillé. Incroyable... Ça ne m'étais jamais arrivé. En faite j'ai même rêver et... On va dire que c'était très agréable mais pas franchement descent.

Ma petite blonde est parti devant. Si je ne me dépêche pas je vais finir par être en retard. J enfile un jean slim et mes baskets et me retrouve en soutien gorge à voir ce que je pourrais mettre avec. Je voulais éviter les jupes, le regard de Gabriel était vraiment trop gênant, mais Lisa m'as laissé une pile de fringue exprès pour moi. J'opte pour un haut bleu électrique très moulant avec un décolter plongeant et dont les manches sont en dentelles noires.

J'attrape mon cuir et me voilà parti. Lisa m'as envoyé un message, les journalistes ce font beaucoup plus rares qu hier. Et puis Matt a trouvé une entrer plus discrète à l'arrière de carter Corp, un de ses amis vigiles lui as dit qu'on pouvait l'utiliser le temps que les choses se tasse.

Matt est un gars tellement sociable, il a des amis dans tout les services. Je suis sûr qu'en territoire ennemis il arriverait encore à avoir un fan club.

J'ai pris un taxi, mais je me dit qu'il va vraiment falloir que j'aille chercher ma moto rapidement. Bien installé dans le siège en tissu, je regarde New York défiler en écoutant la radio d'une oreille. Je capte le mot "congo", et me redresse pour mieux écouter.

"...Star export est actuellement inquièter dans une affaire de mal versation au Congo, des lanceurs d'alerte anonymes auraient envoyé les preuves des fraudes à la police internationale. Le siège de la filiale rattaché à la multi nationale holy field, s'insurge contre ces accusation qu'il pretend être infondé "

Je m enfonce à nouveau dans mon siège. Holy field est un des plus grands concurrents de ma boîte. Quand on a commencé le projet du congo, on a souvent dû se battre avec eux... Leur façon de travailler est plus que discutable. Ça ne m'étonne même pas qu'ils jouent à ce genre de choses.

Après l'attentat, ils s'étaient montré encore plus hargneux. Certains de mes contacts ont carrément peur d'eux. J'espère vraiment que la police fera quelque chose, même si je me doute bien que tout ça sera rapidement passé sous silence.

J'arrive enfin à Carter Corp, il y a moins de journalistes, mais toujours trop pour moi. Je décide de faire le tour, et me fie au indications de Matt. Je suis presque à l'entrée secondaire, quand j'entends des cris derrière moi.

Cinq journalistes ont pris dans leur filet une jeune femme au long cheveux roux. Habillé d'une robe noire, certes élégante mais très ajuster et de talons vertigineux, elle n'as aucune chance de réussir à fuir.

Je n'ai aucune raison d'aller l'aider, je vais même probablement me mettre très en retard. Alors pourquoi est ce que je me dirige vers eux d'un pas décider?

Soudain, l'un d'eux la bouscule, elle s'étale de tout son long pendant qu un autre la photographie.

Je chop le photographe, lui arrache son appareil et d'une main sort la carte sd que je balance dans l'égout. Le gars tente de réagir, mais je lui tord le bras et il se met à crier comme une fillette. Son cri suraigus alerte ses collègues qui se tourne vers nous.

En deux pas je me met entre eux et leur proie.

Moi: tirez vous ou j'appelle la police !
Les journalistes : vous n'avez jamais entendu de la liberté de la presse ?!
Moi: si mais j'ai aussi entendu parler du droit à l'image, et de procès du à des journalistes trop zeller ! Je suppose qu agressé cette jeune femme vous raportera plus que le procès qui vous pend au nez !
Les journalistes : on ne l'a pas agressé !
Moi: c'est pas ce que j'ai vu, et je suppose que les caméras de sécurité corroboront mes dires !